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Politique

Les Bongo : Vers un procès pour "Biens mal acquis" ?

Dans les milieux judiciaires gabonais, l'on considère les récentes déclarations de Sylvia et Noureddin Bongo comme une diversion. Une façon pour l'épouse et le fils du président déchu de manipuler l'opinion par rapport à un procès pour les faits qui leur sont reprochés.
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De quoi ont peur les Bongo ?

Sylvia Bongo Ondimba et son fils Noureddin Bongo Valentin dénoncent depuis Paris les conditions de leur détention à Libreville. Ces accusations, qui interviennent deux mois après leur exfiltration pour Luanda en Angola, suscitent de nombreuses interrogations quant à leurs motivations et sur la stratégie judiciaire et politique de l’ex-famille présidentielle. Alors que se profile, à l'horizon, le procès pour les faits graves pour lesquels ils doivent répondre devant la justice gabonaise et un autre, sans doute, sur des biens mal acquis dans l'Hexagone.
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Débat autour de la création du "Parti présidentiel" : la fin des haricots ?

Timing parfait, argueront sans nul doute les défenseurs du nouveau régime. Une issue prévisible et sans surprise, peuvent rétorquer ses pourfendeurs. Dans tous les cas, l'assemblée générale constitutive de l'appareil politique de Brice Clotaire Oligui Nguema se tient, aujourd'hui, "débarrassée d'un caillou dans la chaussure". Où presque !
Politique

Sylvia et Nourredin Bongo : "Nous nous défendrons, preuves à l'appui"

La première sortie publique de l’ancienne Première dame du Gabon, Sylvia Bongo Ondimba, et de son fils Noureddin Bongo Valentin, depuis leur libération, a pris la forme d’un message à la fois poignant et accusateur. Diffusée ce mercredi, leur déclaration dénonce une série de sévices subis durant leur détention qui a duré plus de 20 mois.
Politique

Pierre-Claver Maganga Moussavou : "Les dispositions transitoires contenues dans la loi sur les partis politiques ne correspondent en rien à ce que nous avons arrêté ensemble"

Dans un entretien accordé à L’Union, Pierre-Claver Maganga Moussavou commente la récente promulgation de la loi sur les partis politiques, dont il a contribué à l’élaborer. Il exprime ses réserves sur certaines dispositions transitoires, notamment l'exigence de 10 000 adhérents en un an, qu’il juge déconnectée de la réalité politique du pays. Il souligne l’importance du respect des concertations et des décisions collectives, tout en saluant les avancées de la loi en matière de transparence et de gouvernance, essentielles pour renforcer la démocratie gabonaise.
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