Régis Onanga Ndiaye, ministre des Affaires étrangères et de la Coopération, chargé de l'Intégration et de la Diaspora, vient de prendre part, au nom du Gabon, à la 131e session du Conseil permanent de la Francophonie (CPF) à Paris, en France. Ce rendez-vous des États ayant en partage la langue de Molière a permis aux participants de passer en revue les questions politiques, diplomatiques et économiques de la communauté.
Ainsi que le suivi des engagements et décisions pris lors du 19e Sommet de la Francophonie de Villers-Cotterêts (France). Non sans préparer la 46e Conférence ministérielle de la Francophonie qui se tiendra à Kigali, au Rwanda, le 19 novembre prochain. Portant la voix du Gabon, Onanga Ndiaye a présenté à l'assistance les avancées majeures de la Transition.
Singulièrement la présidentielle du 12 avril, remportée par Brice Clotaire Oligui Nguema, l'organisation à venir des élections couplées (législatives et locales). Avant de vanter les efforts consentis par le nouveau régime en matière de développement, de décentralisation, de relance économique, de modernisation des infrastructures. Et tutti quanti. Dans la foulée, il a exprimé la gratitude de son pays à l'Organisation internationale de la Francophonie (OIF) pour son accompagnement politique et technique depuis le renversement d'Ali Bongo Ondimba.
L'occasion faisant le larron, le représentant du Gabon a salué la signature de l'accord de paix "historique" du 25 juin 2025 sous l'égide de Washington, entre la RDC et le Rwanda. Ce dernier de prendre également acte de la décision coordonnée de la Confédération des États du Sahel (Burkina Faso, Mali et Niger) de se retirer de l'OIF. Néanmoins il n'a pas manqué d'exprimer son soutien à toutes les initiatives de la Francophonie visant à perpétuer la continuité des relations avec lesdits pays.
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