Des rapports préliminaires des différentes missions d'observation, il en ressort un satisfecit aussi bien sur l'organisation que sur la liberté de choix des électeurs
Alexis Boutamba Mbina, médiateur de la République gabonaise, a reçu le 17 novembre dernier, le vice-président de l'United State Institute of Peace (USIP), Dr Joseph Sany et sa délégation. Les échanges ont porté principalement sur le projet d'implantation de l'USIP au Gabon et le développement des compétences de la Médiature
Tout au long de la campagne pour le référendum du 16 novembre dernier, les partisans des deux camps se sont livrés à des joutes oratoires autour du projet de Constitution qui a finalement été plébiscité par les Gabonais.
Depuis que les résultats du référendum ont été rendus publics, une polémique dont on se serait bien passée autour des chiffres, prend à nouveau corps dans le pays, nous ramenant quelque peu aux contestations qui ont émaillé les élections dans notre pays au cours de ces dernières décennies.
La mission d'observation déployée par la CEEAC, dirigée par l'ambassadeur Gilberto da Piedade Veríssimo, a mis en lumière un fort engagement civique et des défis logistiques lors du scrutin référendaire du 8 au 18 novembre. Des recommandations ont été formulées pour améliorer l'accessibilité et la transparence des futures élections.
Le chef de l'État, le général Brice Clotaire Oligui Nguema, s'est entretenu, hier au palais de la présidence de la République, avec une délégation d'observateurs nationaux et internationaux ayant supervisé les opérations électorales de samedi dernier.
Avec 91,80 % de votes en faveur du projet de Constitution, les raisons de cette adhésion massive des Gabonais se dévoilent entre manipulation des peurs et campagne bien orchestrée. Les Gabonais se sont-ils réellement fiés au contenu de ce document ?
La victoire écrasante du ''Oui'' lors du référendum au Gabon, avec 91,8 % des voix, soulève des interrogations sur les raisons de l'échec du camp du ''Non''. Plusieurs facteurs, qu'ils soient objectifs ou subjectifs, éclairent cette dynamique électorale
Opposant au projet de nouvelle constitution, Alain-Claude Bilie By Nze a, lors d’une conférence de presse organisée ce lundi 18 novembre à Libreville, appelé la communauté internationale à « ne pas reconnaître les résultats publiés par le ministère de l’Intérieur ».
Le 16 novembre 2024, le Gabon a tenu un référendum crucial sur des réformes constitutionnelles. Les résultats, dévoilés province par province, révèlent une adhésion significative des électeurs qui ont voté en grande majorité pour le OUI.
On leur demandait de dire si "Oui" ou "Non" ils adhèrent au projet de Constitution soumis à leur appréciation. Samedi 16 novembre 2024, les électeurs gabonais ne se sont certes pas bousculés dans les centres de vote, mais selon les résultats officiels le "Oui" a tout ravi ou presque sur son chemin.
Les autorités gabonaises l'avaient promis, et ça s'est réalisé sur le terrain. Le référendum qui a mobilisé les électeurs gabonais samedi dernier, relatif au projet de nouvelle Constitution, a vu la participation de plusieurs observateurs venus presque de tous les continents.