Le processus électoral de la présidentielle du 12 avril prochain suit inexorablement son cours. À preuve, ce samedi constitue la date butoir de dépôt de candidatures.
Hier, au Palais de Sports de Libreville, l'association Ossimane a opéré sa mue, devenant désormais "La Pensée patriotique". Il s'agit d'un changement de dénomination et d'objet de la plateforme associative qui entend rassembler en son sein toutes les couches sociales du pays.
Sérieuses dissensions depuis quelques jours au sein de la Plate-forme "Ensemble pour le Gabon" (EPG). Stéphane Germain Iloko Boulengui, par ailleurs tête de file du mouvement "Large rassemblement Arc-en-ciel" n’en fait plus partie...
A deux jours de la fin de l’enregistrement des candidatures, Brice Clotaire Oligui Nguema et d’autres postulants ont respecté les règles en se soumettant aux examens médicaux et linguistiques. Alors qu’une requête en contestation des opérations en cours a été introduite auprès de la Cour constitutionnelle par un quatuor d’acteurs politiques.
Les candidats à l’élection présidentielle passent actuellement une série d’évaluations médicales au Centre hospitalier universitaire de Libreville (CHUL). Ce jeudi 6 mars 2025, deux prétendants à la magistrature suprême, dont Brice Clotaire Oligui Nguema et Axel Ibinga Ibinga, ont été examinés par un collège de spécialistes.
Malgré l'ouverture de la période exceptionnelle d'inscription sur les listes électorales le 1er mars dernier, les centres d'enrôlement à travers Libreville restent étrangement déserts. Les agents, déployés pour l'occasion, patientent dans l'espoir de voir arriver les citoyens concernés par cette opération.
Promesse phare du président Brice Clotaire Oligui Nguema, le projet "Un jeune, un permis" devait permettre à 500 jeunes Gabonais d'obtenir leur permis de conduire. Un an plus tard, le projet est à l'arrêt, miné par des accusations de détournements de fonds et laissant les bénéficiaires et les auto-écoles dans l'incertitude. Autopsie d'un échec retentissant.
Divorce acté entre le candidat malheureux à la présidentielle de 2016 et sa formation politique, le Parti gabonais du progrès (PGP). En réalité, il s'agit là de l'épilogue d'un mariage d'intérêt entre l'ancien président de la Commission de l'Union africaine (UA) et Benoît Joseph Mouity Nzamba, le président de l'écurie de son frère, feu Pierre-Louis Agondjo Okawé.
La sortie du président du Parti national pour le travail et le progrès (PNTP), Jean-Rémy Yama, lundi dernier, au siège de sa formation politique, laisse augurer du ton qui pourrait prévaloir lors de la campagne électorale du scrutin présidentiel.