C'est quasiment une évidence. Les conflits d'intérêts des principaux acteurs de notre sport-roi, conjugué au manque d'une réelle vision de jeu et de poigne du sélectionneur national José Antonio Camacho, ont produit, samedi dernier, au stade de l'Amitié, ce que tout le monde a vu : une sentence implacable pour les Panthères gabonaises.