Depuis plusieurs mois, Mouila, chef-lieu de la Ngounié, vit un véritable calvaire en raison de coupures d'électricité incessantes. Les habitants, exaspérés, se soulèvent et appellent à des réponses concrètes face à cette crise énergétique qui impacte profondément leur quotidien.

À l'occasion de la 12e édition du festival du film de Masuku, la ministère de la Communication et des Médias, en collaboration avec l'Institut gabonais de l'image et du son, souligne le rôle crucial du cinéma dans la sensibilisation des jeunes et la valorisation de l'identité nationale.

Initié par la réalisatrice gabonaise Nadine Otsobogo, le festival du film de Masuku célèbrait sa douzième édition, du 5 au 11 décembre à Franceville, Moanda et Libreville. Avec un accent marqué sur l'environnement, cet événement unique attire l'attention sur la beauté de la nature et l'importance de sa préservation, engageant producteurs, réalisateurs et jeunes générations.

Près de 80 personnes avaient pris place à bord de la barge flottante qui, selon Pascal Ogowet Siffon, principal architecte de ladite infrastructure, peut accueillir 150 personnes pesant chacune 100 kg.

En plus de la détérioration de la voie principale qui part du carrefour Cecado pour Oveng, ainsi que l'abandon des travaux de l'axe conduisant au débarcadère, ce quartier du 6e arrondissement s'apparente à un village dépourvu des bienfaits qu'est censé apporter le modernisme.

En semaine et davantage le week-end, il n'est pas aisé de rouler ou de circuler sur l'axe partant du carrefour Carrière jusqu'au village dit "Bakota", sur la route d'Igoumié, dans le 2e arrondissement d'Owendo. Cela, à cause des troupeaux de bovins qui s'invitent chaque jour le long de ce linéaire, marchant crânement sur la chaussée.

La zone est réputée dangereuse. Vols à la tire et braquages à l'arme blanche y ont lieu régulièrement sans que leurs auteurs ne soient vraiment inquiétés. Il s'agit précisément de la zone dite Promo-Gabon, intégrant les feux tricolores de STFO et ses environs, les voies menant aux feux de La Peyrie et celle débouchant sur le mythique carrefour Rio.

Depuis plusieurs années, les performances des athlètes gabonais aux compétitions continentales et internationales suscitent plus l'affliction qu'elles ne donnent lieu à l'allégresse. Au terme des Jeux africains de mars 2024 par exemple, le Gabon s'est classé 34e sur 52 pays participants, en obtenant quatre médailles (une en argent et trois de bronze).

Conscientes de la précarité dans laquelle baignent de nombreuses femmes, de la dégradation du tissu social, de l’appauvrissement et de la perversion grandissante des populations, et au regard de l’urgence de l’autonomisation de la gent féminine au Gabon.

Argent et pièces d'identité en main devant les guichets des gares ferroviaires, nombreux sont les voyageurs qui s'entendent souvent dire : "Il n'y a plus de place, sauf dans deux semaines...".

Gare Setrag de Franceville. Mardi 19 novembre 2024. C'est avec une petite dizaine de minutes de retard que le train omnibus s'ébranle en direction d'Owendo. Il quitte le quai pour un départ annoncé pour 20 h 00.

Depuis un certain temps, un climat délétère règne au sein de l’opérateur Airtel Money. Après avoir déclenché un mouvement de grève qui a duré quelques jours, les personnels de cette entreprise tentent d'arracher à leur direction quelques avantages.