Divorce acté entre le candidat malheureux à la présidentielle de 2016 et sa formation politique, le Parti gabonais du progrès (PGP). En réalité, il s'agit là de l'épilogue d'un mariage d'intérêt entre l'ancien président de la Commission de l'Union africaine (UA) et Benoît Joseph Mouity Nzamba, le président de l'écurie de son frère, feu Pierre-Louis Agondjo Okawé.

Conformément aux dispositions de la Charte de la Transition, le Parlement de la Transition se réunit de plein droit au cours de deux sessions ordinaires par an. La première, dite "session des Lois", s'ouvre le 1er jour du mois de mars et prend fin le dernier jour ouvré du mois de juin. La seconde, dite "session budgétaire" s'ouvre le 1er jour ouvrable du mois de septembre et prend fin le dernier jour ouvré du mois de décembre.

Les candidats à l'élection présidentielle du 12 avril 2025 sont depuis le 3 mars dernier soumis aux tests et contrôles médicaux effectués par un collège médical tel que l'exigent les dispositions du Code électoral. Aussi passeront-ils des tests d’aptitudes linguistiques réalisés par la Commission d'évaluation de l'aptitude linguistique.

C’EST une surprise à laquelle on vient d’assister dans le paysage politique de notre pays. En effet, après avoir annoncé sa candidature à l’élection présidentielle du 12 avril prochain il y’a plus de deux semaines, le Pr Noël Bertrand Boundzanga vient d’annoncer son retrait de la course au fauteuil présidentiel. Lors d’une déclaration publique ce mardi 4 mars 2025, le président de la plateforme « Telema » fustige un processus électoral qu’il considère antidémocratique.

Au terme d'une journée marathon, le chef de l'État, Brice Clotaire Oligui Nguema, a annoncé qu'il était prêt à relever le défi le 12 avril prochain. Suite à cette annonce, ont réagi Michel Essonghe, Léonard Andjembe, Alfred Nguia Banda et Nze Thomas Débouillon.

En séjour à Lambaréné dans la province du Moyen-Ogooué, le ministre de l’Energie et des Ressources Hydrauliques, fils de la contrée, Séraphin Akure-Davain a pris part à un grand meeting politique organisé par les populations locales, les personnalités politiques et les notables de la région.

Au terme d'une journée marathon, le chef de l'État a annoncé être prêt à relever le défi le 12 avril prochain devant. Ce, alors qu'il soufflait sa 50e bougie. Le film de cette déclaration. Malgré la météo défavorable pour un événement d'une telle importance, le chef de file du Comité pour la transition et la restauration des institutions (CTRI) a fait sienne la maxime militaire selon laquelle "la pluie n'est pas un obstacle".

Ambiance inhabituelle hier à l'Université Omar-Bongo (UOB). Et pour cause : en grande pompe, cette institution a reçu le président de la Transition, le général Brice Clotaire Oligui Nguema, à l'occasion de son cinquantième anniversaire.

Fini le suspense même s'il n’en était pas un, sauf pour les naïfs, l'entrée en lice de Brice Clotaire Oligui Nguema était un secret de polichinelle. Après un scénario pour le moins inattendu, le président de la Transition est bel et bien prêt à se porter candidat à la présidentielle du 12 avril prochain. Deux ans après la prise de pouvoir de l'armée qui a mis fin au régime du président Ali Bongo Ondimba.

Plus que cinq jours avant la date officielle de clôture du dépôt de dossiers de candidature. Entre-temps, les différents candidats vont devoir se plier à un certain nombre d'obligations légales. Notamment les tests médicaux et d'aptitude linguistique dont la date butoir est fixée au 8 mars prochain à dix-huit heures au plus tard.

En réponse à vos nombreux appels, j'ai décidé d'être candidat à l'élection présidentielle du 12 avril ". Cette brève phrase, le président de la Transition Brice Clotaire Oligui Nguema l'a prononcée hier à la Cité de la Démocratie, où l'attendaient de nombreux Librevillois.

Depuis la Cité de la Démocratie, symbole du pouvoir à Libreville, le président de la transition Brice Clotaire Oligui Nguema a annoncé sa candidature à l'élection présidentielle du 12 avril 2025.