Plus que cinq jours avant la date officielle de clôture du dépôt de dossiers de candidature. Entre-temps, les différents candidats vont devoir se plier à un certain nombre d'obligations légales. Notamment les tests médicaux et d'aptitude linguistique dont la date butoir est fixée au 8 mars prochain à dix-huit heures au plus tard.
Soit quarante-huit heures avant la clôture de la période exceptionnelle d'inscription sur la liste électorale et celle consacrée aux réclamations des citoyens préalablement enrôlés. Entendu que la première, d'une durée de dix jours, s'est ouverte le 1er mars dernier. Alors que la seconde, devant s'étendre sur quatrevingt-seize (96) heures, débute ce vendredi.
Bref, l'on entame une des phases les plus cruciales devant mener au scrutin, du 12 avril prochain. D'autant qu'à l'issue de celle-ci, l'on devrait connaître le nombre exact des personnalités retenues dans la course. Laquelle cristallise les passions et s'annonce déjà inédite. Tant plusieurs baroudeurs de la vie politique nationale de ces deux dernières décennies ne devraient pas être sur la ligne de départ. Un panorama qui, d'une certaine manière, préfigure un renouvellement de la classe politique.
En tout cas, les organes dédiés à l'organisation du scrutin (CNOCER, ACER, Commission d'évaluation d'aptitude linguistique) sont à pied d'œuvre.
Reste plus qu'à mettre sur pied les commissions électorales locales et consulaires avant la distribution des cartes d'électeurs. En attendant, bien évidemment, le coup d'envoi de la campagne électorale le 29 mars prochain et de découvrir les programmes des différents candidats.
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