En dehors du déroulement du processus en cours dans notre pays depuis le 30 août 2023 dernier, le chef de l'État et le diplomate français ont évoqué les questions liées à la coopération entre leurs deux pays.
Une semaine après Libreville, le Parti démocratique gabonais (PDG) a effectué, samedi dernier à l'intérieur du pays dans les chefs-lieux de province, sa rentrée politique. À l'exception toutefois de celui de l'Ogooué-Lolo où les "camarades" se sont finalement retrouvés, hier au Centre de documentation et d'information (CDI) de Koula-Moutou.
Réunis en Guinée équatoriale, les dirigeants de la sous-région se sont notamment félicités de l'adoption du projet de Constitution en Conseil des ministres jeudi dernier, avant la tenue du référendum prévu le 16 novembre prochain.
Préparer le Gabon pour l'élaboration d'un rapport d'évaluation sur les écarts de gouvernance dont les recommandations contribueront à la restauration de l'ordre constitutionnel, de la démocratie et la bonne gouvernance". C'est l'un des objectifs assignés au "Forum sur le processus d'évaluation de la gouvernance en République gabonaise" dont les travaux se sont ouverts hier, dans la capitale gabonaise
Commencées lundi dernier, les audiences publiques relatives au différend frontalier entre le Gabon et la Guinée équatoriale se sont achevées hier, à La Haye, devant la Cour internationale de justice (CIJ), avec les plaidoiries des agents de la République gabonaise.
Le débat autour de la prochaine Loi fondamentale n'en finit plus de susciter les réactions. Plus d'une semaine après la fin des travaux de l'Assemblée constituante, le sénateur Jean-Rémy Yama a, au cours d'une conférence de presse qu'il a animée mardi dernier, marqué ses distances en se déclarant sans ambiguïté favorable à l'application de la Constitution de 1991
Si l'on peut à juste titre se féliciter de ce que le Gabon et la Guinée équatoriale aient accepté, en 2016, de soumettre à la Cour internationale de Justice (CIJ) le différend les opposant au sujet des îles Mbanie, Corisco et Cocotiers afin qu'elle trouve une solution, il est grand temps d'admettre qu'il faudrait qu'elle rende son arrêt dans les délais les plus raisonnables.
Ouverte le 3 septembre dernier, la deuxième session ordinaire du Conseil économique, social et environnemental (CESE) s'est achevée, hier au siège de cet organe de la Transition, sous la direction du président du CESE, Séraphin Moundounga. En présence, entre autres, du Premier ministre, Raymond Ndong Sima, des chefs des missions diplomatiques et des représentants des Organisations internationales.
Le chef de l'État, le général Brice Clotaire Oligui Nguema a poursuivi son séjour dans la capitale fédérale américaine en s'entretenant vendredi dernier, au Pentagone, avec les responsables de la Défense et de la Garde nationale de la
Virginie-Occidentale.