Dans son plaidoyer intitulé "Alimenter l'avenir du Gabon", ce dernier revient sur cette solution énergétique qui a fait ses preuves dans de nombreux autres pays. "Alors que l’énergie solaire a transformé le secteur de l’électricité dans des pays comme le Pakistan et le Nigeria, le Gabon reste encore largement en marge de cette révolution énergétique", déplore-t-il. Selon lui, "l’adoption de l’énergie solaire au Gabon est très limitée. Le marché local des équipements solaires est peu développé, avec peu d’installateurs qualifiés et une prédominance de panneaux solaires et d’onduleurs de mauvaise qualité et coûteux. Ces coûts élevés sont aggravés par les droits de douane, la TVA et des frais de transport importants, rendant les systèmes solaires inaccessibles pour la majorité des foyers."
Se présentant comme un modèle de développement durable, cette énergie encore au stade embryonnaire dans notre pays devrait, selon lui, passer un cap. "Bien qu’il soit peu probable que les installations solaires privées remplacent entièrement le ré- seau de la SEEG, encourager les initiatives privées pourrait considérablement réduire la pression sur le réseau national et fournir une alimentation plus fiable aux foyers et aux entreprises. En exonérant les panneaux solaires, les batteries et les onduleurs de la TVA et des droits d’importation, le Gabon pourrait créer un environnement plus favorable aux investissements dans le solaire", recommande-t-il.
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