Le ministère de l'Egalité des chances et des Gabonais de l'étranger a, en partenariat avec le ministère de la Protection sociale et la Solidarité nationale, lancé hier, jeudi 29 novembre 2018, au parking de l'hôtel Monts de Cristal de Libreville, un sondage devant s'effectuer sur trois jours, dans les trois communes de la capitale : Libreville, Owendo et Akanda.
C'est le sens donné à cette célébration autour de plusieurs activités culturelles, scientifiques et religieuses par la Fondation qui porte le nom du premier président du Gabon, mort il y a tout juste 51 ans, hier.
Recommandation du ministre d’État en charge de la Communication, Guy Bertrand Mapangou, hier, à la maison Georges-Rawiri, cadre de cette commémoration cinquantenaire. Un hommage appuyé a également été rendu aux pionniers de la radio de presque 60 ans.
Dix-neuf films figurent dans la programmation placée sous le double parrainage d'Aurélie Flore Koumba Pambo, conseillère scientifique à l'ANPN, et du Britanno-Nigérian Newton Aduaka, vainqueur de l'étalon d'or du Yennenga 2007 au Fespaco.
Issus d'une trentaine de pays d’Afrique dont le Gabon et d’Europe, ces professionnels ont passé au crible, trois jours durant, les problèmes qui minent leur profession.
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) vient de publier son dernier rapport sur le paludisme. Selon cette agence de l’Organisation des Nations unies, l’Afrique enregistre le record de mortalité avec 70 % de cas déclarés (151 millions) et de décès (274 000).
Il s'agit de " L'univers des sourds muets au Gabon : entre histoire et lutte" et " Histoire d'un père trouvé" de Paul Anicet Moundziegou, enseignant et homme de lettres, présentées à l'Institut français.
Une session de formation a été organisée vendredi dernier à la centrale thermique d'Alenakiri (Owendo), à l'initiative du Conseil national de la jeunesse du Gabon, en collaboration avec le Concept Freedom et de la direction de la Sécurité civile du ministère de l'Intérieur.
Les membres des Corporations des artistes réunis (Car) étaient en assemblée générale, le 21 novembre dernier, au siège de l'Union des écrivains gabonais (Udeg) sis au carrefour Raponda Walker, au quartier Louis dans le 1er arrondissement de Libreville.
Interrogé à chaud par “l'Union” sur la remise au président français Emmanuel Macron, hier, du rapport d'experts sur la restitution à l'Afrique de ses œuvres d'art "confisquées" pendant la colonisation et conservées dans les musées français, le ministre d’État chargé de la Culture évoque ici les dispositions prises par le gouvernement gabonais pour assurer une meilleure conservation de ces biens culturels attendus, et la tenue, mardi prochain, à Libreville, d'une table-ronde avec une équipe multidisciplinaire d'universitaires sur les enjeux de cette problématique.