C’est ce soir, à 19 heures, que s'achève le cycle de débats d’idées initié par l’Institut français de Libreville depuis février dernier, et qui a permis des échanges multiformes à travers des tables rondes mensuelles.

C'est la condition sine qua non posée par les enseignants pour la reprise des activités pédagogiques dans cet établissement. C'était au cours d'une réunion tripartite présidée hier par le ministre d’État Guy Bertrand Mapangou. Le comité de crise projeté devrait ramener la sérénité dans les rangs.

Il bénéficiera au lycée Nelson-Mandela et à l'Institution Immaculée Conception, qui en ont assuré la phase pilote. L'ambassadeur d'Allemagne Burkhard Ducoffre a d'ailleurs saisi cette opportunité pour rappeler à ses interlocuteurs l'impact positif de ce programme germanique à l'endroit de la jeunesse gabonaise, et librevilloise en particulier.

Nids-de-poules, crevasses et même une grosse mare. Tel est l'état dans lequel se trouve présentement la chaussée autour du rond-point de la Démocratie, un carrefour très fréquenté des Librevillois.

Contigu au ''Palmier doré'', l'endroit ne passe pas inaperçu au cœur de Libreville. Une trentaine des toiles du peintre y sont actuellement exposées.

C'est à cette réflexion que la conférence internationale dénommée Cila 2018 invite le public et les leaders, du 15 au 17 novembre prochain à l'hôtel Nomad.

L'un des vœux souvent formulés par les habitants de la zone de la Cité-Sni et du quartier Akournam 2, dans la commune d'Owendo, est en passe de devenir une réalité.

Les automobilistes n'hésitent pas à se servir de leurs portables pour répondre un appel ou à un message. Quelle que soit la raison, ce geste déconcentre le conducteur et peut causer des accidents, parfois mortels.

Pour sensibiliser davantage le public et les États à la question de l'impunité des crimes contre les journalistes, l'Unesco lance ce jour une nouvelle campagne : #TruthNeverDies.

La fine pluie qui s'est abattue hier matin dans la capitale n'a pas douché l'ardeur de nombreux Librevillois à honorer leurs morts dont c'est la célébration ce vendredi 2 novembre. Cette journée a également permis de constater la saturation des cimetières dans bien des cas.

Dans cette interview exclusive, le coordonnateur général du Samu social gabonais dresse l'état des lieux de cet appareil de réduction de la pauvreté et de la mortalité dans notre pays. Quatorze mois après son lancement, le Samu gabonais a su se trouver une place à la fois sur le territoire national et dans le quotidien des populations, en dépit des grosses difficultés rencontrées. Mais pas que...

C'était au cours d'une opération de prévention de trois jours au carrefour SNI-Owendo, en partenariat avec l'agence Orbellia.