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Politique

Questions orales : le social au cœur des préoccupations des députés !

Une vue des ministres à l'Assemblée Nationale le 19 décembre 2024 lors de la séance 𝐝𝐞𝐬 𝐐𝐮𝐞𝐬𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐚𝐝𝐫𝐞𝐬𝐬𝐞́𝐞𝐬 𝐚𝐮𝐱 𝐌𝐞𝐦𝐛𝐫𝐞𝐬 𝐝𝐮 𝐆𝐨𝐮𝐯𝐞𝐫𝐧𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 © DR.

Un exercice ayant permis à sept (7) députés (Jean-Bosco Mbagou, Jeanine Taty Koumba, Jean-Paulin Ekoua Sima, Thierry Ang Ondo, Barry Ndimal, Elza Ritchuelle Boukandou et Jean-Valentin Leyama) de solliciter des éclairages de l'Exécutif. Des préoccupations tournant essentiellement autour de l'actualité sociale de l'heure. L'affaire Foberd-Gabon défrayant la chronique a figuré en bonne place dans la séquence des questions orales, en tant que question d'actualité.

Le Premier ministre de la Transition a été interrogé sur la situation de cette société de droit camerounais, filiale du consortium Fokou accusée de commercialiser des denrées alimentaires avariées. Notamment dans plusieurs contrées du territoire gabonais à l'instar de Libreville, Oyem et Lambaréné, pour ne citer que ces exemples. Le "Locataire de la Primature" a également été questionné sur la Convention de concession de la gestion et de l'exploitation du chemin de fer gabonais.

Dans la même foulée, la première Chambre du Parlement a souhaité voir clair dans l'avenant n° 4, en cours de discussion, relatif au programme d'investissement pour la réhabilitation et la maintenance du chemin de fer. Ainsi que sur la réalisation de l'audit opérationnel, technique et économique de la concession dudit chemin de fer.

Le secteur de l'éducation n'a pas été occulté dans cet exercice. Aussi la ministre de l'Éducation nationale, de la Formation professionnelle, chargée de la Formation civique, Camélia Ntoutoume-Leclercq, a dû s'expliquer sur le cas des enseignants bénévoles. Son collègue de l'Intérieur et de la Sécurité, Hermann Immongault était quant à lui interrogé sur la prolifération du trafic des stupéfiants en République gabonaise.

Dans le même registre, il a fourni aux députés, tout comme Brigitte Onkanowa, la ministre de la Défense nationale, des précisions relatives à la recrudescence de l'insécurité dans le pays.

Enfin, Paul-Marie Gondjout, ministre de la Justice, a dû se justifier sur l'absence d'acte réglementaire relatif à l'article 273, alinéa 2 du Code de procédure pénale.

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