"Nous constatons une augmentation progressive et significative du nombre de nouveaux cas." Cette phrase prononcée, hier, par le ministre de la Santé, Guy-Patrick Obiang-Ndong, résume la grande inquiétude du gouvernement. Lequel a mis en garde la population, au cours d'une conférence de presse tenue à Libreville sur les risques d'une seconde vague de l'épidémie à coronavirus au Gabon.

Afin d'écarter tout risque de propagation du Covid-19 dans l’établissement, en cette reprise des cours, la directrice générale de l’Institut universitaire des sciences de l’organisation Sophie-Ntoutoume (IUSO), Marcelle Ibinga Itsitsa, a pavoisé son établissement d'affiches de sensibilisation sur la pandémie. Une action qui vise à faire prendre conscience aux étudiants et personnels d'encadrement que l'épidémie demeure d'actualité.

En vue de faire taire les rumeurs, qui circulent depuis quelques jours sur les réseaux sociaux et relayées par les médias traditionnels, autour d'un détournement d'une somme de 228 millions de francs au titre des subventions allouées à l'Enseignement privé protestant, le président de l'Église évangélique du Gabon (EEG), Augustin Bouengoune, a tenu un point-presse mardi après-midi à Baraka.

Le ministre de la Santé, Guy-Patrick Obiang Ndong, et l'ensemble des grossistes du secteur pharmaceutique du Gabon ont échangé vendredi 13 novembre 2020 dernier.

"Donner aux apprenants des outils théoriques pour appréhender au mieux le rôle et la place d'un agent pénitentiaire et, surtout, envisager une définition concrète et pratique plutôt que théorique et abstraite de cette notion". C'est par ces mots que le directeur de stage, le colonel Germain Kinda, a résumé hier les objectifs poursuivis par le stage de renforcement des capacités professionnelles des agents de la Sécurité pénitentiaire (SP), à la prison centrale de Libreville. Lequel a pris fin hier par une cérémonie de remise officielle des parchemins aux apprenants.

L'association Leveh vient de faire un don de 250 masques chirurgicaux, 50 masques artisanaux ainsi que 2 litres de gel hydroalcoolique à l'école catholique de Nkok, dans le 2e arrondissement de Ntoum (Komo-Mondah). Une action s'inscrivant parfaitement dans la vision de cette plate-forme associative qui prône la charité.

À 69 le 11 novembre dernier, le nombre de cas actifs du Covid-19 au Gabon est passé à 65. Selon les chiffres de la communication du Comité de pilotage (Copil) du plan de veille et de riposte contre le coronavirus, vendredi soir.

Soucieuse de s'assurer de l'état d'avancement des travaux de construction, de réfection et de réhabilitation des établissements scolaires du Grand-Libreville, la ministre déléguée à l'Éducation nationale Camélia Ntoutoume Leclercq a effectué, vendredi dernier, un voyage de presse avec une trentaine de médias gabonais.

Dans ce contexte particulier marqué par la crise sanitaire mondiale due au Covid-19, l'Institut français (IF) du Gabon innove, se réinvente et s'adapte. En termes d’innovation, il propose désormais une offre hybride mêlant activités en présentiel et événements en ligne.

À l'approche de la rentrée des classes dans le secondaire le lundi 16 novembre prochain, la ministre déléguée à l'Éducation nationale, Camélia Ntoutoume Leclercq, a présidé la cérémonie de réception du matériel de sécurisation sanitaire offert par les partenaires au développement (Banque mondiale, Unicef…) pour l'année scolaire 2 020/2 021. Cet équipement qui devra couvrir l'ensemble des établissements publics et privés du Gabon, a été reçu jeudi dernier au lycée Léon-Mba à Libreville.

Le traitement développé par les laboratoires Pfizer et BioNTech, " efficace" à 90 % pour prévenir les infections à Covid-19, suscite, depuis son annonce, le 9 novembre dernier, de l'espoir mais aussi des interrogations, notamment sur sa disponibilité, son coût et son accessibilité à tous.

À la date du 11 novembre 2020, le Gabon ne compte plus que 69 cas actifs du Covid-19. Il faudra attendre la prochaine communication du Comité du pilotage (Copil) du plan de veille et de riposte contre le coronavirus au Gabon, demain soir, pour davantage mesurer cette baisse significative. Car, en une semaine, le nombre est passé de 104 à 69.