Dans ce contexte particulier marqué par la crise sanitaire mondiale due au Covid-19, l'Institut français (IF) du Gabon innove, se réinvente et s'adapte. En termes d’innovation, il propose désormais une offre hybride mêlant activités en présentiel et événements en ligne.
Après plusieurs mois de fermeture au public due à la pandémie de Covid-19, l’Institut français du Gabon a rouvert ses portes au grand public le lundi 12 octobre en adaptant ses activités aux règles sanitaires en vigueur. La reprise des activités marque un moment fort pour l’IFG, qui sera présent sur tous les fronts de la culture", avait déclaré Sauzon-Bouit, directrice déléguée et attachée culturelle.L’offre en ligne de l'Institut français regroupe une diversité de programmes tels que le " Live de l'IF", tous les vendredis, qui se veut un nouveau rendez-vous pour découvrir la scène musicale gabonaise émergente, avec des mini-concerts organisés en partenariat avec Ibogazik. Comme ce fut le cas tout récemment avec la jeune chanteuse gabonaise Nyangone.
L’autre innovation est " Talents du rire", disponible tous les lundis, qui sera présenté sous forme de capsules de quelques minutes co-construites avec l’humoriste de renommée Manitou. Le premier numéro entrera en scène ce 15 novembre avec Rigobelet.
Une autre offre sera " Plein feux sur…" qui mettra à la disposition de tous trois vidéos produites en collaboration entre l'IF et l’atelier Eyeno de Michel Ndaot. Il y aura également "L’interview" qui, quant à elle, donnera la parole à des personnalités du secteur culturel gabonais.
" Le podcast du mardi" (qui sont des audios littéraires, philosophiques et engagés à écouter librement), " L’heure du conte", des stages divers, les activités de la médiathèque, le cinéma, etc., sont autant d'activités que l'Institut français de Libreville met à la disposition du public lors de cette reprise.
Frédéric Serge LONG
Retrouvez l'intégralité de cet article dans la version numérique complète
Retournez à la rubrique Gabon Culture & Société
random pub
Articles associés
Dans une déclaration à la presse, M.
Cédric Bourobou Nzaou, un des trois représentants du collectif des filiales dissoutes de la Gab'Oil, a la voix de ces personnes qui font face à une situation qui les empêche de dormir.
Dans un entretien accordé au journal L'Union, Nadine Nathalie Awanang-A
Dakar a accueilli, récemment, le lancement du programme régional ''Chaque femme, chaque nouveau-né partout''.
Depuis trois mois, les enseignants des centres de formation professionnelle gabonais sont en grève pour dénoncer des conditions de travail inadéquates et des manques criants en ressources pédagogiq
La Ministre des Affaires Sociales.
