Ça y est ! Le suspens a pris fin. Après une longue attente, la Cour constitutionnelle a enfin statué. Des examens minutieux, il ressort que quatre (4) autres prétendants à la magistrature suprême ont été repêchés. Portant ainsi à huit (8) le nombre de candidats sur la ligne de départ.
Dans le monde du 7e art, nul doute que le titre "8 candidats pour un fauteuil" aurait été donné à l'actuelle saga inhérente au "retour à l'ordre constitutionnelle". Maintenant que la liste définitive est connue, place aux choses sérieuses, est-on tenté de penser. D'autant que l'ouverture de la campagne électorale approche inexorablement.
Dans une semaine, jour pour jour, les prétendants à la fonction présidentielle déploieront leurs stratégies de séduction électorale. À coups d'arguments et autres promesses de campagne, chacun tentera de convaincre le peuple de voter pour lui. Comme cela est le cas à chaque scrutin de cette nature.
Pour revenir à nos mots et tons, ladite liste définitive ne changera pas véritablement la configuration de l'élection à venir. Et pour cause, à l'exception d'Alain Simplice Bougoueres, peu ou prou connu du milieu politique, les autres repêchés font office de grands novices. Néanmoins, ils contribueront, au moins, à animer davantage la période à venir.
Ne dit-on pas que "plus on est fou, plus on rigole" ? À moins qu'avant le jour "J" du vote des désistements et autres ralliements soient enregistrés. Dans tous les cas, c'est un scrutin spécial que s'apprêtent à vivre les Gabonais.
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