Le ministre Franck Nguema prend part à la 5e réunion des ministres ACP de la Culture qui se tient au Niger. Sa proposition a été soutenue par plusieurs autres participants.

Les ministres Estelle Ondo, Carmen Ndaot et Noël Nelson Messone étaient hôtes des sénateurs, hier, au palais Omar-Bongo-Ondimba, siège de la chambre haute du parlement. Chacun d'entre eux y a présenté et défendu le projet de budget de son ministère pour l'exercice 2019.

Mardi dernier, le ministre des Affaires étrangères est allé représenter le chef del'Etat Ali Bongo Ondimba à la 2e édition du forum de Paris sur la paix. C'est devant une trentaine de chefs d'Etat et de gouvernements venus de tous les coins du monde que le président de la République française, Emmanuel Macron, a ouvert les travaux.

Par ailleurs, au cours de la conférence de presse qu'il a animée, hier, à la chambre de commerce de Libreville, il en a profité pour dresser le bilan de sa participation au gouvernement.

LE président Ali Bongo Ondimba a pris lundi une décision sans précédent dans l'histoire de notre pays en prononçant la dissolution du ministère des Travaux publics et des Infrastructures, en charge de

Toutefois, le texte n'a pas été voté à l'unanimité. Certains élus ont préféré, qui voter contre, qui s'abstenir. Y compris au sein du groupe parlementaire PDG, plutôt majoritaire à l'Assemblée nationale.

Comme une lettre à la poste. En tout, ce fort plébiscite était prévisible. Rempilant à la tête de la commune d'Owendo (pour un 3e mandat), Mme Jeanne Mbagou épouse Matsougou du Parti démocratique gabonais (PDG) l'a remporté par un suffrage exprimé de 100% de voix. Sur un collège électoral de 49 votants, une seule voix lui a fait défaut (un bulletin blanc ou nul).

C'est l'engagement qu'a pris le chef du gouvernement, Julien Nkoghe Bekale, devant les membres de son équipe et les secrétaires généraux et directeurs généraux de l'administration, à l'occasion de la cérémonie des vœux formulés à son endroit hier.

Le député du 1er siège du 2e arrondissement de Libreville a dénoncé, mercredi dernier, les agissements visant à semer le trouble dans la population, orchestrés par des individus tapis dans l'ombre.

En apportant son soutien au chef du gouvernement, la semaine écoulée, le président du groupe parlementaire du Parti démocratique gabonais (PDG) à l’Assemblée nationale, Martin Mabala, n’avait certainement pas anticipé les réactions divergentes que cela susciterait.