Tel est l'idéal vers lequel veulent tendre les ministres des Affaires étrangères, les diplomates et autres experts venus de divers horizons réunis, depuis hier, à Libreville à l'occasion du 7e séminaire de haut niveau sur la paix et la sécurité en Afrique.

Les anciens députés, membres de la 12e législature de l'Assemblée nationale, ont récemment observé un mouvement d'humeur. Ces derniers sont très remontés. Ils réclament purement et simplement le paiement de leurs frais de cabinet.

Jean-Boniface Assélé, président fondateur du Centre des libéraux réformateurs (CLR), a récemment adressé une Note à charge à la deuxième personnalité dudit parti, Nicole Assélé. Cette dernière a été portée au directoire du CLR lors de son premier congrès extraordinaire, le 14 février 2019. Une initiative qui, aux yeux de certains, a valeur de "rappel à l'ordre".

Respecter scripuleusement les dispositions prises par le président de la République et le Premier ministre, relatives à la prévention, à la sensibilisation et à la lutte contre la propagation du coronavirus au Gabon figure au nombre des recommandations faites le week-end dernier par le Parti pour le développement et la solidarité sociale (PDS) à l'endroit des Gabonais en général et de ses militants en particulier.

Le confinement total du Grand Libreville, décrété le 10 avril dernier, suscite des réactions de la classe politique. C'est le cas de l'Union démocratique et républicaine (Udere), un parti de la galaxie présidentielle. D'où la récente sortie de son leader, Victor Missanda.

Au cours du point-presse qu'il a animé, lundi dernier, dans les installations de Michèle-Marine, au quartier Glass, dans le 4e arrondissement de Libreville, le président du Centre des libéraux réformateurs (CLR), Jean-Boniface Assele, s'est désolé de constater ''qu'à chaque fois que le chef de l'Etat, Ali Bongo Ondimba, donne des orientations, il y a des défaillances chez ceux qui sont censés mettre en musique ses décisions''.

Le secrétariat exécutif du Parti démocratique gabonais (PDG) s'insurge contre l'acte de vandalisme et de destruction de son siège d'Oyem dans la province du Woleu-Ntem, par des individus non encore identifiés.

Quelle va être la composition du prochain gouvernement ? Telle est la grande interrogation qui taraude actuellement les observateurs et autres analystes du landerneau politique gabonais. Première femme nommée au poste de Premier ministre dans l'histoire du Gabon, Rose-Christiane Ossouka-Raponda va-t-elle briser les codes établis jusqu'ici ? Aura-t-elle le "courage" de sortir des sentiers battus ?

Pour avoir nommé Rose Christiane Ossouka Raponda aux prestigieuses fonctions de Premier ministre, chef du gouvernement, une première dans notre pays, les femmes cadres du Woleu-Ntem, tous les bords politiques confondus, ont exprimé leur gratitude au président de la République, Ali Bongo Ondimba. Cela à la faveur d’une déclaration faite à Oyem, hier mercredi 12 août.

L'audition, hier, du sénateur Ernest Ndassiguikoula, par les membres de la Commission des Lois, des Affaires administratives et des droits de l'Homme de l'Assemblée nationale, sur la proposition de loi portant reconnaissance légale et fixant le régime juridique du mariage coutumier en République gabonaise, a débouché sur la mise en place d'une Commission mixte. D'autant que, au regard des observations relevées, les députés ont jugé utile de se retrouver avec les sénateurs aux fins de l'adoption d'un texte commun.

La Première ministre, Rose Christiane Ossouka Raponda, a reçu en audience, hier à son cabinet, l'ambassadeur de Turquie au Gabon, Nilufer Erdem Kaygisiz. Celui-ci a été introduit à la Primature par le ministre des Affaires étrangères, Pacôme Moubelet Boubeya.

Les sénateurs ont adopté, récemment, en termes identiques que l'Assemblée nationale, le projet de loi portant ratification de l'ordonnance 0011/PR/2 020 du 14 août 2020 portant création, organisation et fonctionnement de l'Autorité nationale de vérification et d'audit (ANVA).