Le chantier évolue avec une armée de sous-traitants oeuvrant dans diverses tâches, notamment dans la production des canaux, des bordures, le nivellement de terrain… Mais, les obstacles existent, qui sont en train d'être vaincus. Ils sont essentiellement d'ordre géologique.
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"Nous devons à tout prix rechercher la stabilité de l'ouvrage à partir d'un sol stable…", explique Loïc Ekome Essono Kodjo, qui se satisfait de l'implication d'autres acteurs qui collaborent sur le site, notamment le ministère des Travaux publics (TP), le cabinet 2G SA, Socorep.
Ces aléas propre s à tout grand chantier n'inf luent pas considérablement sur l'avancement des travaux. Tout au contraire, ils sont aplanis avec détermination par chacun des acteurs du chantier, qui s'investissent à relever le défi.
"Il n'existe pas d'écueils insurmontables. Tout problème ayant une solution adaptée à son cas", indique une jeune technicienne supérieure sur le site. Autre motif de satisfaction de Soco TP, dans l'entreprise commise à la tâche, 99 % du personnel est constitué de Gabonais.
L'effectif actuel est d'ailleurs appelé à croître, puisque dans les tout prochains mois, le chantier pourrait amorcer sa vitesse de croisière. Mais cette perspective qui pourrait procurer du boulot à bien d'autres compatriotes en quête, est liée à la disponibilité prochaine des finances destinées au projet par l'État.
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