Crimes de sang : l’État annonce une riposte pénale implacable
L’indignation nationale a trouvé un écho au sommet de l’État. Après la série noire marquée par le drame d’Akanda et l’assassinat tragique d’un adolescent, le Conseil des ministres de ce lundi a placé la sécurité des Gabonais en priorité absolue. Refusant que la violence ne se banalise, le Président de la République a ordonné une révision urgente et sans concession du dispositif pénal. La consigne est claire : face à la recrudescence des crimes de sang, l’heure n’est plus au constat, mais au durcissement drastique de la répression.
