Libreville abrite depuis hier, et ce jusqu'à demain, l'atelier de validation du rapport sur la valorisation du potentiel forestier du Gabon et de l'étude d'impact de la participation de notre pays à l'exposition d'Osaka, au Japon.
Cet événement, qui est organisé par le Commissariat général aux Expositions du Gabon, le ministère des Eaux et Forêts, celui du Tourisme et de l'Artisanat et l'ambassade du Japon, vise à valider collectivement le rapport produit par le cabinet Deloitte : présenter les résultats des travaux menés pour l'opérationnalisation du tableau de bord de Suivi ; renforcer la stratégie de valorisation du patrimoine forestier gabonais en vue de sa présentation à l'Exposition universelle Osaka-2025.
L'idée est d'affiner, côté gabonais, la stratégie visant à mettre en valeur le potentiel forestier du Gabon lors de cette grand-messe. "Le pavillon du Gabon à Osaka ne sera pas un simple centre d'exposition, mais un espace de narration vivante et d'expérience immersive. Il proposera notamment une plongée sensorielle dans la forêt équatoriale", a expliqué Nina Abouna, la commissaire générale aux Expositions du Gabon.
Du côté des autorités, le ministre des Eaux et Forêts, Maurice Ntossui Allogo, a fait savoir que "ces études, qui font l'objet de notre présence ici ce matin, situent à cet égard des outils stratégiques permettant de quantifier, démontrer et communiquer les multiples valeurs de notre capital forestier, aussi bien sur le plan écologique, climatique, économique et culturel, que pour évaluer les bénéfices attendus de la participation du Gabon à l'exposition universelle d'Osaka-2025".
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