Fonctionnel depuis fin mai dernier, le laboratoire Pr Daniel-Gahouma, sis au palais des sports de Libreville, affiche des chiffres remarquables : plus de 21 342 tests réalisés à ce jour. Soit 42,72 % dans tout le Gabon depuis le lancement de ses activités.

Depuis plusieurs semaines, les rues de Libreville et ses environs sont à nouveau jonchées d'ordures ménagères de toutes sortes. Pis, un nouveau phénomène est en train de se généraliser, au vu et au su de tout le monde : des ordures ménagères jetées sur la chaussée.

Comme l'imposent les circonstances liées à la pandémie de Covid-19, c'est confinés à domicile que les musulmans du Gabon, à l'instar de leurs coreligionnaires à travers le monde, ont commémoré hier l'Aid el-Adha (fête du sacrifice), communément appelé fête du mouton ou Tabaski.

Le ministre de l’Emploi, porte-parole du gouvernement, Nanette Longa, s'est récemment entretenue à Libreville avec le représentant-résident du Fonds des Nations unies pour la population (Fnuap), M. Kéita Ohashi.

Le conseil d'administration de l’Office pharmaceutique national (OPN), qui s'est tenu au sein du Centre hospitalier universitaire d'Owendo (CHUO), a entériné jeudi la création de l'OPN SA.

L'écriture et l’œuvre du premier romancier gabonais ont retenu l'attention des spécialistes du livre lors de cette manifestation culturelle organisée dans la foulée de la Journée internationale du livre.

Programmes de loisirs et d'hébergement destinés à des groupes de mineurs (en général de 4 à 17 ans), les colonies de vacances contribuent au plein épanouissement des enfants et favorisent leur processus de socialisation.

Cette année, tout comme les précédentes, la mosquée Hassan-II a refusé du monde hier. Les musulmans s'y sont rués pour célébrer la fête de l'Aïd-el-Fitr, c'est-à-dire la fête de rupture de jeûne.

En août dernier, le ministre de la Santé Guy Patrick Obiang Ndong était en visite sur les sites d'Olam et Maurel & Prom, dans les provinces de la Ngounié et du Moyen-Ogooué. Cette mission, sans qu'on s'en rende vraiment compte, avait permis de mettre en exergue une simple réalité : les agents de la Santé ne sont pas les seuls à payer un tribut au coronavirus. Le Copil, dans son récent rapport, n'a-t-il d'ailleurs pas évoqué des "clusters professionnels" ?