La nouvelle constitution gabonaise en gestation et dont l'avant-projet vient d'être transmis au président de la Transition par l'Assemblée constituante suscite un intérêt majeur. Une étape cruciale dé- chaînant "toutes les passions" alors que la date du prochain référendum n'est pas encore connue.

Une étape supplémentaire du processus d'élaboration de la prochaine Loi fondamentale de notre pays a été franchie, hier au palais de la présidence de la République, avec la remise solennelle au chef de l'État, le général Brice Clotaire Oligui Nguema, du rapport général des travaux de l'Assemblée constituante et du projet de Constitution par le président de cette instance, Jean-François Ndongou.

Alors que le président de la République, le général Brice Clotaire Oligui Nguema, n'a de cesse de dénoncer le crime de concussion qui sape l'État de droit au Gabon, les discours circonstanciels prononcés hier ont traduit la volonté du secteur judiciaire d'améliorer son image en faisant de la lutte contre la corruption un de ses principaux chevaux de bataille.

Le président du parti "Gabon nouveau", Mike Jocktane, a animé une conférence de presse hier au siège de sa formation politique. Occasion pour lui d'analyser l'actualité sociopolitique gabonaise et de se prononcer sur certains sujets.

La rentrée des cours et tribunaux est l'heure de fixer le cap de la nouvelle année judiciaire qui s'ouvre et de mettre sur la table les défis du secteur de la Justice. Au cours des dernières années, on a, en effet, assisté aux grèves qui, malheureusement, ont paralysé l'appareil judiciaire.

Au moment où elle fait sa rentrée, aujourd'hui, pour le compte de l'exercice 2024-2025, la question de la liberté de la Justice ne saurait être éludée. Ce d'autant plus que les justiciables continuent de douter, en raison du fossé existant entre les annonces et les pratiques. Et cela depuis de nombreuses années.

Le chef du gouvernement de la Transition, Raymond Ndong Sima, a procédé, hier à l'hémicycle réfectionné du ministère de la Fonction publique, au lancement des travaux de la Commission d'examen des dossiers de demandes d'emploi dans la Fonction publique.

Présent au XIXe Sommet de la Francophonie, le président de la Transition, Brice Clotaire Oligui Nguema, a participé, samedi dernier, au grand palais de Paris, à un panel de haut niveau. Le numéro un gabonais et d'autres dirigeants ont planché, entre autres, sur les recommandations de la Conférence ministérielle des Francophones, la lecture du rapport d'activité de Louise Mushikiwabo, secrétaire générale de la Francophonie, ainsi que l'adoption de la déclaration du Sommet.

Le Président de la Transition, Brice Clotaire Oligui Nguema, a assisté vendredi à l'ouverture, du moins le segment présidentiel, du XIXe Sommet de la Francophonie. Une ouverture ayant eu lieu à Villers-Cotterêts, à quelques encablures de la capitale française

Commencées lundi dernier, les audiences publiques relatives au différend frontalier entre le Gabon et la Guinée équatoriale se sont achevées hier, à La Haye, devant la Cour internationale de justice (CIJ), avec les plaidoiries des agents de la République gabonaise.

La campagne d'éducation et de sensibilisation dénommée "Référendum 2024, je suis concerné #JEVOTE", a démarré mercredi dernier. Comme annoncé la veille par Herman Immongault, ministre de l'Intérieur et de la Sécurité.

Le débat autour de la prochaine Loi fondamentale n'en finit plus de susciter les réactions. Plus d'une semaine après la fin des travaux de l'Assemblée constituante, le sénateur Jean-Rémy Yama a, au cours d'une conférence de presse qu'il a animée mardi dernier, marqué ses distances en se déclarant sans ambiguïté favorable à l'application de la Constitution de 1991