Depuis la diffusion du projet de Constitution de la République gabonaise, les débats s’enflamment. À quelques semaines du référendum prévu le 16 novembre, chaque article est minutieusement analysé, et les prises de position, notamment autour de l’amnistie des événements d’août 2023 et l’interdiction des successions familiales, suscitent des réactions passionnées. La tension monte dans un pays qui espère un avenir plus démocratique, mais s’interroge aussi sur les intentions réelles de ce texte.