Après les États-Unis, le président de la République, le général Brice Clotaire Oligui Nguema, est arrivé hier à Paris, en France. Ce séjour parisien sera essentiellement consacré aux travaux du 19e Sommet de la Francophonie.

Lors de sa plaidoirie devant la Cour internationale de justice à La Haye, aux Pays-Bas, l'agent de la République gabonaise Marie-Madeleine Mborantsuo, qui s'est exprimé lors des audiences publiques, a rappelé à la Haute juridiction que ce différend a déjà été réglé par les deux parties à travers la signature de la Convention de Bata en 1974.

Si l'on peut à juste titre se féliciter de ce que le Gabon et la Guinée équatoriale aient accepté, en 2016, de soumettre à la Cour internationale de Justice (CIJ) le différend les opposant au sujet des îles Mbanie, Corisco et Cocotiers afin qu'elle trouve une solution, il est grand temps d'admettre qu'il faudrait qu'elle rende son arrêt dans les délais les plus raisonnables.

Les voix discordantes avaient déjà commencé à se faire entendre à travers des alertes, notamment via les réseaux sociaux sur la destination prise par les 7 milliards de F CFA que le chef de l'État, Brice Clotaire Oligui Nguema, avait décaissés, lors de sa tournée républicaine, pour la réalisation des projets de développement de la province de l'Ogooué-Ivindo.

Le Ministre de l'Intérieur et de la Sécurité, Hermann Immongault, a lancé hier, à son cabinet, la campagne de sensibilisation des citoyens sur le référendum à venir dans notre pays. Cette campagne intitulée "Référendum 2024, je suis concerné, je vote", vise plusieurs objectifs.

À l'occasion de la célébration en différé hier à son siège de l'anniversaire (l'an I) de la Cour constitutionnelle de Transition, le président de cette "juridiction", le doyen des juges constitutionnels, le secrétaire général et le directeur de cabinet du premier responsable de ladite institution ont procédé au premier bilan d'étape.

Ouverte le 3 septembre dernier, la deuxième session ordinaire du Conseil économique, social et environnemental (CESE) s'est achevée, hier au siège de cet organe de la Transition, sous la direction du président du CESE, Séraphin Moundounga. En présence, entre autres, du Premier ministre, Raymond Ndong Sima, des chefs des missions diplomatiques et des représentants des Organisations internationales.

Le moins que l'on puisse dire c'est que le landerneau politique s'agite. Surtout depuis l'adoption, quasiment à l'unanimité des membres de l'Assemblée constituante, de l'avant-projet de Constitution. D'où la bipolarisation (Ndlr : partisans du "oui" au scrutin à venir et ses pourfendeurs) observée.

Profitant de son séjour à Washington DC, après un séjour à New York où il a pris part à la 79e Assemblée générale des Nations unies, le président de la Transition, le général Brice Clotaire Oligui Nguema, a reçu en audience, dimanche dernier, le personnel de l’ambassade du Gabon aux Etats-Unis, conduit par l'ambassadeur Noël Nelson Messone.

Le chef de l'État, le général Brice Clotaire Oligui Nguema a poursuivi son séjour dans la capitale fédérale américaine en s'entretenant vendredi dernier, au Pentagone, avec les responsables de la Défense et de la Garde nationale de la Virginie-Occidentale.

La présidente du Sénat de la Transition, Paulette Missambo, a pris part, du 26 au 27 septembre 2024, à la 11ème Réunion annuelle de l'Assemblée des Sénats, Shoûras et Conseils équivalents d'Afrique et du monde arabe (ASSECAA).

Certes la seule évocation de son nom occasionne la répulsion de nombreux Gabonais qui lui reprochent, à tort ou raison, plusieurs griefs du système déchu. Il faut toutefois reconnaître qu'Alain Claude Bilie-By-Nze pose un problème de fond.