La Mairie de Libreville a annoncé, sur ses réseaux sociaux, le 15 octobre dernier, que le bureau de l’Association internationale des maires francophones (AIMF) avait alloué, lors sa 102e réunion, le 3 octobre 2024 à Paris, une subvention de 155 000 euros (soit 103 652 169 FCFA) à la commune de Libreville.

La cérémonie présidée hier par le président de la Transition a mis en exergue la volonté des plus hautes autorités qui veulent nationaliser le secteur des transports urbains et moderniser le parc automobile bien vieillissant.

Le collectif des anciens salariés de Gabon Woods Industries (GWI) a dénoncé, hier à leur piquet de grève planté à l'entrée de ladite société, le non-paiement de l'indemnité de précarité tel que mentionné dans le procès-verbal du 31 juillet passé.

La dernière fois que l'opinion publique avait entendu parler de Marie-Madeleine Mborantsuo, c'était lors d'un débat suscité par sa désignation comme présidente honoraire de la Cour constitutionnelle.

Après une trêve volontaire depuis l'avènement de la transition politique, le bureau exécutif de l’Association nationale des retraités du Gabon (Anareg) a organisé une conférence de presse, le vendredi 27 septembre dernier, au cours de laquelle elle a partagé son analyse de ces mesures. Et le moins que l'on puise dire est qu'elle n'est pas très contente.

En face du bâtiment abritant les Galeries, des effluves nauséabonds d'urine dérangent les narines de toute personne qui cherche un taxi dans les environs. Lors de grandes chaleurs, il est presque impossible de respirer. Heureusement que les dernières pluies, qui sont tombées sur la capitale, ont un peu atténué la souffrance des passants.