L’artiste-peintre touche-à-tout expose jusqu’au 31 courant sa nouvelle collection dans ses galeries des Trois-Quartiers.

Le ministre d'Eat, en charge de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, s'y est rendu, hier, pour s'imprégner de l'état d'avancement des travaux démarrés en novembre dernier.

Une session de formation, à l'initiative de la Direction d'académie provinciale de l'Estuaire (DAPE), réunit depuis jeudi dernier à Libreville, ce jusqu'à demain, les chefs d'établissements secondaires et primaires de la province.

Non à une énième augmentation des prix du carburant à la pompe ! C'est l’interpellation faite aux pouvoirs publics par le Syndicat libre des transporteurs terrestres du Gabon (Syltteg), samedi dernier, lors d’un point-presse tenu à l’école publique de la Sorbonne, à Libreville.

La résolution 1325 est le premier document formel et légal issu du Conseil de sécurité des Nations Unies qui impose aux différentes parties d'un conflit de respecter le droit des femmes d'une part, et de soutenir leur participation aux négociations de paix et à la reconstruction, d'autre part. »

Ouverte trois jours plus tôt, l'activité médico-chirurgicale en neurochirurgie de la Caisse nationale d'assurance maladie et de garantie sociale (Cnamgs) s'est achevée jeudi dernier.

Du fait des agents non grévistes, cette continuité du service soulage les usagers. Ce qui souligne le comportement responsable des grévistes.

Une opération annuelle de routine faisant suite à un recensement administratif initié du 7 au 17 novembre 2017.

Les membres du Syndicat national des magistrats du Gabon (Synamag) sont montés au créneau, hier, pour dénoncer, une fois de plus, d'un ton ferme, l'ingérence du pouvoir exécutif dans le pouvoir judiciaire. C'était à la faveur d'un point-presse tenu dans la salle d'audience du palais de justice de Libreville.

Ce sera au sein d'un séminaire-atelier présidé par le Premier ministre, Emmanuel Issoze Ngondet, dans l'optique de '' gérer autrement'' l'agent public.

Des apprenants qui se sentent pris en otage entre l'Etat, qui les y a orientés, et la direction de cette école privée qui leur exige le payement des frais dus, au risque de ne pas passer les examens de fin de cycle.

A travers leurs programmes de développement respectifs, les deux organismes onusiens affichent leur disposition à faire de notre capitale, et même des autres villes du Gabon, des moteurs de croissance de l'économie et de l'émergence du pays.