Le premier contrat d’exploitation et de partage de production que la Société nationale des hydrocarbures ou Gabon oil company (Goc) a signé mercredi dernier, avec le ministère du Pétrole, lui donne désormais la possibilité de participer à des permis, d'exploiter, de produire, de transporter et de commercialiser du brut. L’octroi de ce permis d’exploitation découle de la volonté des pouvoirs publics gabonais de mieux maîtriser le processus de production, d’améliorer les recettes et les investissements.
Serge Toulekima, DG de la Goc, a estimé que ce meilleur contrôle de la production pétrolière nationale aura également pour effet de mieux investir dans la protection de l'environnement. Il a annoncé que la Gabon oil company allait contribuer à un fonds d’entretien et de protection des parcs nationaux.
La Société nationale des hydrocarbures a été créée avec les missions de détenir, gérer et prendre des participations pour le compte de l'Etat, directement ou indirectement, dans toute activité relative à la recherche, l'exploration, l'exploitation, la distribution, le transport, le stockage, la commercialisation, le raffinage.
ECMM
Retournez à la rubrique Gabon économie Gabon
random pub
Articles associés
Le secteur des assurances au Gabon enregistre une performance remarquable au cours du deuxième trimestre 2024, affichant une croissance de +84,8 %.
Dans une récente interview accordée au journal *L'Union*, Charles M'Ba, ministre du Budget et des Comptes publics, a abordé les défis auxquels font face les départements ministériels concernant l'e
L'ONG Space for Giants (SFG) et Panthera ont signé une convention qui vise à atténuer le conflit Homme-faune (CHE) au Gabon, à travers l’installation et le suivi de clôtures électriques mobiles.
Le président de la transition, Brice Clotaire Oligui Nguema, a rassemblé les ministres des Mines, de l’Économie et du Budget afin de discuter d'une stratégie nationale d'exploitation des ressources
La concentration nationale des organisations paysannes et producteurs du Gabon (CNOP-Gabon) dernièrement à Libreville un atelier de plaidoyer pour la prise en compte de l'agriculture publiques.
Dans une interview accordée au journal L'Union, Jean-Gaspard Ntoutoume Ayi a détaillé les raisons et les implications du rachat anticipé de 50 % de l’eurobond gabonais, contracté en 2015.
