Parmi les sinistrés, il y a le secrétaire général de la préfecture de Gamba. La toiture de sa résidence ayant été emportée par la bourrasque. Tout comme les deux bâtiments du centre préscolaire mitoyen.
Cette énième calamité naturelle soulève, une fois de plus, la question cruciale de l'assistance aux sinistrés. En effet, malgré la présence de services compétents comme l'antenne du centre social, rien n'est fait pour assister les populations sinistrées. Et cela, parce que lesdits services sont dépourvus des ressources financières propres à fournir l'aide nécessaire.
Conséquence : les sinistrés de Gamba sont souvent abandonnés à leur triste sort, malgré les promesses souvent faites mais qui demeurent difficiles à se matérialiser. Avec cette nouvelle catastrophe, les personnes touchées par ces intempéries regardent du côté des autorités pour une assistance spontanée en attendant une évaluation des dégâts.
Il faut dire que la commune de Gamba n'est pas la seule localité à subir parfois les affres de la nature. Il y a peu, à Mouila, Mbigou et même à Tchibanga, des maisons avaient perdu leurs toitures. Il fallut attendre des secours venant de partout pour se reloger. L'Etat devrait renforcer ses services compétents en la matière. Le cas de celui dédié aux affaires sociales.
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