Avec Angela, l’épouse et la compagne de scène de toujours, l’icône de la musique gabonaise des années 70 a fait chanter et danser vieux et jeunes au Casino Croisette.
LA même gestuelle, le même entrain. Sur scène, Julien Nzengui Mouelle n’a pas pris une ride ! L’icône de la musique gabonaise des années 1970 a démontré au public du Casino Croisette, jeudi dernier, qu’il a encore du répondant. Le musicien apparaît sur scène dans une tenue de... scène de l'époque, une chemise noire brillante à la Claude François, sa légendaire coupe afro en moins.
Un titre, un deuxième, la soirée prend son envol sur le titre culte ‘’ Ma jolie Samboui’’, suivi par un autre classique : ‘ ’Matambe ma ngosso’’, repris de bout en bout par un public appartenant à cette époque-là, mais aussi par d’autres beaucoup plus jeunes. Tous emportés par le même élan mélodieux d'une musique tradi-moderrne intemporelle.
Les titres s'enchaînent à un rythme effréné. L’ambiance monte et redescend, selon l'effet produit dans le public. Certains gigotent. D'autres chantent. L'appel de la scène est irrésistible pour une autre catégorie. Ils investissent le podium pour quelques pas de danse avec le musicien au mieux de sa forme. Il est quelquefois couvert de billets de banque.
I . I
Retournez à la rubrique Gabon Culture & Société Gabon