Libreville a abrité du 26 au 28 novembre 2025, un atelier régional de renforcement des capacités sur le nexus climat-sécurité-environnement àl’hôtel Hibiscus de Louis.
Yaoundé accueille le 47e symposium de l’ABCA, sous l’égide de la BEAC, pour définir de nouveaux outils de stabilité macroéconomique face au dérèglement climatique, et renforcer le rôle des banques centrales africaines dans la finance verte et la résilience économique.
a Gabon se prépare à lancer une campagne nationale de communication sur la coexistence homme-éléphant, portée par la WCS, le CHF et d’autres partenaires, pour deux ans et financée par CAFI 1, afin de réduire les conflits et protéger le patrimoine naturel.
La SEEG fait face à une double pression: une dette client et étatique atteignant près de 97,4 milliards FCFA fin octobre 2025, et une fraude persistante qui fragilise l’approvisionnement en électricité et eau au Gabon.
Le Gabon accélère vers le tout-numérique: dès décembre 2025, le paiement du visa s’effectuera en ligne via le portail evisa.dgdi.ga, mettant fin au paiement en espèces à l’aéroport et simplifiant l’entrée sur le territoire.
L’Université Omar Bongo et l’Agence gabonaise de développement de l’économie verte s’associent pour former la prochaine génération d’experts gabonais, en mettant l’accent sur l’immersion professionnelle, la formation spécialisée et la contribution à la transition écologique du pays.
Dès la fin du mois de novembre, tous les acteurs financiers de la Cémac devront basculer vers la norme ISO 20022, rendue obligatoire par la BEAC. Cette évolution technique majeure vise à moderniser les infrastructures de paiement, harmoniser les échanges financiers et renforcer la sécurité des transactions, tout en maintenant l’interopérabilité de la région avec les systèmes internationaux.
Une initiative continentale majeure, et le Gabon en est exclu. Le programme conjoint de la ZLECAF et Google, destiné à former 7 500 PME africaines aux compétences numériques et à l'intelligence artificielle, se déploie sans la participation gabonaise.
La visite d'État d'Emmanuel Macron au Gabon marque un tournant décisif dans les relations franco-gabonaises, plaçant l'économie au cœur des échanges. Accompagné d'une délégation du Medef, le président français entend réaffirmer le soutien de Paris à la nouvelle ère de gouvernance de Libreville, tout en défendant un partenariat "gagnant-gagnant" axé sur la souveraineté et le développement.
Loin des rumeurs de tensions évoquées par certains médias, la décision du Gabon de surseoir à un nouveau programme de financement du FMI relève d’une stratégie de souveraineté assumée et non d'un conflit ouvert. En privilégiant l'assainissement interne de ses finances publiques tout en maintenant une collaboration technique avec l'institution de Bretton Woods, Libreville cherche à s'affranchir de la dépendance aux aides conditionnelles.
Libreville a accueilli hier la première édition du Forum d’affaires Côte d’Ivoire-Gabon (FACIGA), un événement majeur visant à bâtir "un modèle de coopération économique Sud-Sud". Réunissant décideurs politiques et acteurs du secteur privé des deux pays, ce forum a jeté les bases d'un partenariat économique solide, axé sur des secteurs clés comme l'agriculture, l'énergie et les infrastructures.
Face aux coupures de courant à répétition qui exaspèrent la population, le président Brice Clotaire Oligui Nguema a haussé le ton en convoquant la direction d'Aggreko. Lors d'une réunion stratégique, il a exigé des "solutions concrètes et immédiates" pour mettre fin aux pannes, qualifiant la sécurité énergétique de priorité nationale.