Ulie Boukandou, Gabonaise de 42 ans, a trouvé la mort dans un accident de la circulation survenu le samedi 10 mai 2025, à la Cité-Ndaot, un quartier du 4e arrondissement de Port-Gentil, le chef-lieu de la province de l'Ogooué-Maritime.

La promesse de crédibilité judiciaire portée à la faveur de l'avènement du Comité pour la transition et la restauration des institutions (CTRI) est confrontée ici à un test significatif.

Un Gabonais de 24 ans, Prince Angouroua été condamné à 2 ans de prison et à une amende de 200 mille francs pour vol aggravé avec violence.

Contrairement à certaines rumeurs, Sylvia Bongo Ondimba et Noureddin Bongo Valentin sont toujours en détention préventive à Libreville, en attendant une possible mise en accusation après la clôture de l’instruction judiciaire.

Face aux accusations des agents de la CNNII, le groupe Ebomaf affirme que la concession maritime n’est pas encore effective, l’État n’ayant pas rempli certaines conditions contractuelles. Il se désengage donc de toute responsabilité, appelant à une clarification de la situation par les autorités.

Figure pionnière de l'armée gabonaise, Germaine Oyane Ndong fut la première femme parachutiste du pays, formée en 1962 sur instruction du président Léon Mba. Elle a été honorée pour son engagement, malgré les bouleversements politiques ayant mis fin prématurément à sa carrière militaire.

Nommé ministre des Travaux publics, Edgard Moukoumbi hérite d’un secteur stratégique marqué par des attentes fortes en matière d’infrastructures routières. Il s’engage à piloter une gouvernance efficace pour développer un réseau moderne et durable.

Les partis politiques gabonais ont jusqu’à 17 heures aujourd’hui pour désigner leurs représentants dans deux comités chargés de préparer des avant-projets de loi sur les partis politiques et le découpage électoral, dans le cadre des réformes de la Ve République.

La multiplication des démissions politiques est vue comme un symptôme du manque de convictions chez certains leaders, perçus comme motivés par le confort personnel plutôt que l’intérêt du pays.

Les agents de la CNNII dénoncent de graves dérives dans la gestion de l’entreprise depuis sa concession au groupe Ebomaf, pointant des violations du Code du travail, une gestion opaque et des atteintes à la souveraineté nationale. Ils appellent le président de la République à intervenir d’urgence.