Alors que la polémique enfle sur les réseaux sociaux, Blaise Louembe, candidat à l’élection législative dans le premier arrondissement de Koula-Moutou, affirme qu’il n’envisage pas de verser un franc à chacun individuellement. Son idée est plutôt d’alimenter un Fonds géré par un comité inter-quartier, destiné à financer des actions sociales.

Le conseil d’État a validé la candidature de Jean-Rémy Yama comme tête de liste du PNTP pour les élections locales dans le département de Mulundu, mettant fin à une bataille judiciaire qui aura tenu en haleine jusqu’au dernier moment.

Dans une interview exclusive, Alexandre Barro Chambrier, candidat du RPM, détaille son approche sur les élections législatives et locales. Entre reconnaissance du travail durant transition, appel à une majorité présidentielle et promesse de candidatures crédibles, il revient sur les objectifs du parti, les défis logistiques et les priorités pour renforcer la démocratie locale et nationale.

Blaise Louembe s’exprime sur l’ouverture de la campagne électorale du PDG: sérénité et détermination marquent l’élan du parti, qui s’engage à renouer le dialogue avec les Gabonais, à mettre l’accent sur le renouvellement générationnel et à proposer un projet concret pour l’avenir du Gabon, tout en naviguant une période post-transition sans être au pouvoir.

En marge de la tournée interprovinciale de l’Union démocratique des bâtisseurs (UDB), Mays Mouissi, secrétaire général, trace les contours d’un jeune parti résolument tourné vers le changement et la décentralisation au Gabon. Entre espoirs affichés pour les législatives et locales du 27 septembre et 11 octobre 2025, il défend l’ambition d’un renouvellement politique, l’inclusivité et l’ancrage local des candidatures, tout en rappelant l’adhésion du peuple aux réformes engagées depuis la Transition et les objectifs de l’UDB pour accompagner le président fondateur Brice Clotaire Oligui Nguema dans son projet pour le pays.

Koula-Moutou entre dans une campagne électorale où le fracas des affiches et les meetings s’imposent dans chaque rue. PDG et UDB mobilisent chacun leurs atouts pour séduire un électorat en quête d’amélioration des conditions de vie, tandis que d’autres forces tentent aussi de glaner des parts de voix.

À Port-Gentil, la campagne électorale s’affiche partout, des rues aux murs, des tee-shirts aux véhicules. Ce week-end particulier a transformé la ville en vitrine vivante des forces politiques en lice pour les législatives et locales du 27 septembre. Entre mobilisation directe, animations de quartier et messages colorés, Port-Gentil s’interroge: la ville est-elle prête à voter et à quel visage se dessine le vote dans ces rues en effervescence?

Quatre jours après l’ouverture officielle de la campagne, Oyem signe un contraste saisissant: la capitale du Woleu-Ntem paraît étrangement calme alors que les campagnes rurales s’animent. Entre affiches discrètes et cortèges de véhicules décorés, la dynamique politique se joue en deux tempos: une ville qui attend et une province qui réveille ses villages.

Dans le cadre de la campagne électorale 2025, Yves Fernand Manfoumbi met en avant une distinction clé entre "chef" et "leader", plaçant le leadership tourné vers l’intérêt collectif au cœur de sa vision politique. Entre critiques du pouvoir personnel et appel à la construction d’un projet commun, l’homme politique invite les électeurs du département de la Dola à soutenir une dynamique de développement partagé.

La campagne pour les législatives et locales est officiellement lancée avec l’Union démocratique des bâtisseurs (UDB) en tête de cortège, affichant un ton résolument ferme à Okala. Brice Clotaire Oligui Nguema, président-fondateur, exhorte à abandonner les slogans creux et à défendre un projet de société clair, tout en marquant une rupture avec les anciennes alliances et en appelant à l’unité autour de son leadership et de sa vision.

Donatien Afatoughe-Bie, candidat de l’Union Démocratique des Bâtisseurs (UDB), a officiellement annoncé sa candidature aux législatives du 27 septembre dans le 2ᵉ arrondissement de Makokou et le canton Ntang-Louli. Devant ses sympathisants à Libreville, il affirme vouloir représenter fidèlement sa circonscription et incarner les valeurs qui guident son engagement politique.

À Libreville, l’ACER a réuni les partis politiques pour rappeler son rôle de garant du processus électoral. Présent tout au long de la chaîne électorale, l’organisme appelle à la transparence et à la régularité, tout en incitant les acteurs à anticiper leurs demandes et à faire remonter les irritants, notamment en ce qui concerne l’accès aux médias publics et le financement des campagnes.