Pour la circonstance, c’est le chef d’état-major général des Forces armées gabonaises (CEMGFAG), le général de division Jean Bedel Boucka, qui a présidé cette cérémonie funèbre.
À cette occasion, le CEMGFAG a décerné à titre posthume la médaille de reconnaissance des Forces armées au second maître disparu. Et comme de tradition, l'aumôniermilitairedelamarine nationale a officié la prière et la bénédiction de la dépouille. Pour sa part, le commandant du groupement des fusiliers marins (GFM) a fait la lecture de l'oraison funèbre.
"Aujourd'hui, les Forces armées gabonaises (FAG) viennent de perdre un vaillant soldat. Nous voici donc réunis ici, pour rendre hommage à un être cher qui avait choisi de servir son pays, en exerçant un métier difficile mais noble dans la Marine nationale. La valeur sacrée de la vie et le respect que nous devons aux morts commandent que chacun de nous ici présent surmonte sa douleur", a-t-il indiqué.
Pour la seconde phase, les différents corps armés ont procédé au dépôt de la gerbe de fleurs, tout en signant le livre de condoléances ouvert à cet
effet. S'en est suivie la veillée, en présence de la famille du défunt. Disparu à l'âge de 38 ans, le second-maître Jhoan Bounda laisse derrière lui une grande famille profondément affligée.
random pub
Articles associés
Samedi dernier, Richard Ndi Bekoung, président du Sypross et secrétaire permanent de la Fédération des syndicats des travailleurs des pays affiliés à la Cipres (Festac), a exprimé ses préoccupation
"Nous sommes sur le terrain, nous connaissons les réalités des établissements.
Ce rendez-vous, à l'intention principalement des avocats généraux, substituts généraux et procureurs de la République de Libreville, de Ntoum et de Lambaréné, vise à répondre à des préoccupations c
La situation chaotique dans laquelle se trouve le secteur de l'enseignement supérieur au Gabon n'est plus à dépeindre, marquée notamment par de nombreux dysfonctionnements infrastructurel et managé
L'univers de l'Enseignement supérieur ne lui est pas inconnu.
Hier, à Akanda, Philippe Tonangoye, récemment nommé ministre de la Formation professionnelle, a tenu sa première réunion avec les directeurs de son administration.
