Un verdict rendu au terme de la 1277e réunion du Conseil de Paix et de Sécurité (CPS), présidé par Rebeca Amuge, ambassadeur, représentant permanent de l'Ouganda auprès de l'Union africaine ( UA).
Tout en levant les sanctions infligées au Gabon, le CPS n'a pas manqué de formuler quelques recommandations. Notamment, l'examen de la situation du président déchu, Ali Bongo Ondimba et de sa famille. Notamment son épouse Sylvia et son fils Nourredin.
Dans la même foulée, les diplomates exhortent la partie gabonaise à organiser dans les plus brefs délais les procès des personnalités incarcérées durant l'avènement du CTRI.
Présent à Addis-Abeba pour cette circonstance, Michel Régis Onanga Ndiaye, ministre des Affaires étrangères - mandaté par le président de la République fraîchement élu, Brice Clotaire Oligui Nguema - a naturellement exprimé la gratitude de son pays. Non sans affirmer que le : "Gabon réintègre une maison qu'il n'a jamais véritablement quittée. Mais qu'il revient avec des ambitions fortes pour la paix, la sécurité et le développement durable dans notre continent".
Nous y reviendrons.
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