Cette rencontre intervient après la confirmation de son élection au poste de membre du Bureau politique pour le compte de la ville de Mouila, chef-lieu de la province de la Ngounié. C'était à l'issue des travaux du 11e congrès ordinaire avancé du Parti démocratique gabonais (PDG).

Les échanges entre le président Ali Bongo Ondimba et cette délégation conduite par l'ancien sous-secrétaire d'Etat aux Affaires africaines, Mme Jendayi E. Frazer, ont essentiellement tourné autour des questions économiques.

Le Premier ministre, Emmanuel Issoze Ngondet, a présidé, hier, dans les locaux du secrétariat général du gouvernement, un Conseil interministériel sectoriel.

Le président de la République a pris part, hier, à la cérémonie officielle de prestation de serment de George Weah, élu le 26 décembre dernier, avec 61,5% des voix, à la tête de son pays.

C'est l'ambition dévoilée, samedi dernier, par le président de cette formation politique, Jean-Boniface Assélé, qui s'en est pris violemment, au passage, à son ancien vice-président Eloi Nzondo.

Né de la fusion entre le Mouvement patriotique et démocratique pour la refondation et l'Union pour le développement et la liberté, le Rassemblement des patriotes républicains est présidé par Jean-François Ntoutoume Emane.

Ils ont été appréhendés pendant qu'ils occupaient des locaux appartenant à l’État gabonais.

Les responsables du Centre des libéraux réformateurs (CLR) se sont réunis mercredi dernier, à leur siège, au cabaret des artistes, dans le 5e arrondissement de la commune de Libreville. Occasion pour eux de célébrer l’inauguration de leur siège totalement rénové.

C'est l'ambition affichée, hier, par le secrétaire général du gouvernement, Ali Akbar Onanga Y'obegue.

Il y avait foule au domicile du président du Parti social démocrate (PSD), en fin de semaine dernière, à l’occasion de la cérémonie de présentation des vœux au leader de cette formation politique, Pierre-Claver Maganga Moussavou.

Une invite de la présidente de la haute juridiction, Marie-Madeleine Mborantsuo, afin qu'on ne se "défausse plus, comme par le passé, sur l'institution".

Élu pour un mandat d'un an, le nouveau président du Rassemblement pour le Gabon (RPG) devra, par la suite, céder son fauteuil à trois autres cadres de sa formation politique, selon le principe de la présidence rotative arrêté à l'issue du dernier congrès du RPG.