Le prochain premier responsable du Centre gabonais des élections (CGE), structure qui remplace désormais la Commission électorale nationale autonome et permanente (Cénap), sera élu par un collège s
Le prochain premier responsable du Centre gabonais des élections (CGE), structure qui remplace désormais la Commission électorale nationale autonome et permanente (Cénap), sera élu par un collège spécial pour un mandat de deux ans renouvelable une fois.
L'annonce, à demi-mot, de l'Union nationale de participer aux prochaines élections législatives vient clore les débats sur les avis contrastés d'un éventuel boycott de ce scrutin brandi par certains.
Au cours du grand rassemblement qui a eu lieu samedi dernier, au siège du parti politique présidé par Zacharie Myboto, plusieurs allocutions de circonstance ont été prononcées. Tous les intervenants ont essentiellement abordé le débat sur la participation ou non de l'UN au prochain scrutin législatif prévu pour la fin du mois d'avril au plus tard.
Profitant de l'intersession parlementaire, le député du Parti démocratique gabonais (PDG) dans le 6e arrondissement de Libreville, Jean-Marie Ntoutoume Essone, a effectué samedi dernier une tournée parlementaire dans son siège.
Il s'agit d'un nouveau concept politique récemment lancé par le président de l'Alliance pour le changement et le renouveau (ACR). L'ancien vice-Premier ministre effectuait ainsi son retour sur la scène, depuis qu'il a observé une grève de la faim pour combattre "l'État-PDG" et la "sorcellerie politique".
En se rendant, mardi dernier, sur le site du projet Iboga, le ministre de l'Intérieur, Lambert-Noël Matha, qu'accompagnait son collègue du Budget, Jean-Fidèle Otandault, a sans doute lancé le processus d'organisation du prochain scrutin législatif.
C'était dans le cadre d'une visite de contrôle. Occasion pour le chef de l'Etat de constater l'évolution des activités dans cet espace économique, considéré comme créateur d'emplois.
Une délégation spéciale venue du pays du Soleil levant a exprimé cette demande au ministre des Affaires étrangères. Tout comme elle souhaiterait l'appui du Gabon à d'autres candidatures que présente son pays dans de nombreux organismes internationaux.
Le ministre de l'Intérieur a saisi l'occasion de son récent séjour dans cette ville, pour sensibiliser les différents maillons de l'administration locale sur les dernières mesures prises par Ali Bongo Ondimba. Principalement celles issues de son discours à la nation du 31 décembre dernier.
L'épouse du chef de l'Etat a elle-même montré l'exemple le week-end écoulé à l'école publique d'Okala, aux côtés de la mairesse de Libreville, Rose Christiane Ossouka Raponda.