Le président du parti Les Démocrates (LD) dit ne voir personne initier ces assises en l'absence du chef de l'Etat. Ce d'autant que, d'après lui, "tous se réfugient derrière le président de la République''. C'est ce qu'il nous a confié dans l'interview qu'il nous accordée en marge de la célébration de 2e anniversaire de sa formation politique, qu'il place volontiers dans l'opposition. Lecture.
L’homme et son parti politique ont fustigé la « crise artificielle » née de l'état de santé du président de la République. Non sans mettre les hommes politiques de tous bords face à leurs responsabilités qui est l’amélioration des conditions de vie des Gabonais.
Aujourd'hui les membres du secrétariat exécutif du Parti démocratique gabonais (PDG) seront dans la Zone économique de Nkok. Histoire de s'enquérir de ce qui se fait dans le sens de "l'accélération de la transformation du Gabon", tel que prôné par le parti au pouvoir.
Les travaux qui se sont achevés hier ont été sanctionnés par deux principales recommandations à l'endroit du gouvernement, afin que le Gabon ''rattrape son retard de développement durable''. Par ailleurs, le règlement intérieur a été adopté.
L'annone a été faite hier au Premier ministre, Julien Nkoghe Bekale, par le représentant de cette institution bancaire dans notre pays, Robert Masumbuko. C'était au cours de leur entretien au 2-Décembre.
La nouvelle équipe dirigeante de l'hôtel de ville de Libreville, en tête de laquelle son maire central, Léandre Nzue, a été reçue hier en audience, par la présidente de la Cour constitutionnelle, Marie-Madeleine Mborantsuo. Une rencontre qui a permis à ces nouveaux élus de rendre leurs civilités à la présidente de la haute juridiction.
C'est ce qu'a déclaré le ministre de l’Économie, Jean-Marie Ogandaga, au sortir d'une séance de travail autour du Premier ministre, Julien Nkoghe Bekale, et à laquelle a pris part le gouverneur de la Banque des États de l'Afrique centrale (BEAC), Abbas Mahamat Tolli, ainsi que les responsables des principaux établissements bancaires.
Dénommé “PG-41”, cette plateforme de groupements et partis politiques de l'opposition était en conclave dernièrement au siège du Rassemblement pour l'Alternance Politique et l'Indépendance démocratique (Rapid) au Haut-de-GuéGué.
Depuis la mise en place de cet organe chargé de suivre l'évolution de la mise en place des recommandations issues des assises d'Angondjè, l'on se demande ce qu'il en est, près de deux ans après.