Après quatre journées de prospection dans les lycées et collèges de la capitale, cette grande école sénégalaise de management a présenté, de manière détaillée, ses programmes de formation au public.

Après la zone dite '' Lac Bleu'', sur la Voie-Express de Libreville, il y a moins d'un an, où des individus non identifiés avaient détruit des plantes qui embellissent la ville, la même scène s'est reproduite dans la nuit du 15 au 16 mai dernier.

La rencontre avec les personnes d'ascendance africaine compte bien laisser des empreintes indélébiles.

Des représentants des établissements scolaires des communes de Libreville, Owendo et Akanda reçoivent, depuis le début de la semaine, les rudiments nécessaires pour leur permettre de former des clubs santé au sein de leurs écoles, lycées et collèges.

Leur syndicat en a appelé à l'intervention du président de la République, lors d'une conférence de presse à Libreville.

Suspendue le 2 mai dernier, à la suite "de garanties émises par la tutelle", la grève des agents de la douane a été reconduite hier pour une durée "illimitée".

C'est le but du récent échange entre le maire, Ernest Ogandaga, et les femmes du premier arrondissement de cette commune.

Le révérend pasteur président de l’Église évangélique du Gabon (EEG), Jean-Jacques Ndong Ekouaghe, a été invité dans l'Etat du Michigan, aux Etats-Unis d'Amérique, par le ministère de l'Institut du réseau chrétien mondial, pour participer à l'ordination de notre compatriote, pasteur Ulrich Gondron Tsoumou.

En conclave depuis le 26 avril dernier à la chambre de commerce de Libreville, représentants de l'administration publique, du secteur privé, entre autres, ont mis un terme, vendredi, aux travaux ayant conduit à la formulation de propositions pour faciliter l'accès des Gabonais à l'emploi.

La démarche des responsables de la direction générale de l’Agence gabonaise de la sécurité alimentaire auprès des élèves des séries scientifiques visent à les intéresser aux métiers de vétérinaires, agronomes et autres phytosanitaires.

Plus d'un mois après le passage du ministre de l’Éducation nationale, Florentin Moussavou, l'établissement commence, petit à petit, à retrouver sa sérénité. Les actes de violence de ces derniers temps s'estompant peu à peu.

Le Syndicat national des enseignants-chercheurs (Snec) condamne le mutisme du gouvernement face à l'agression dont a été victime l'un de ses membres, Mathurin Ovono Ebe.