Officialisée le 2 novembre à Douala, cette structure dirigée par une Gabonaise, Mélissa Bendome, aura pour mission de vulgariser le rôle essentiel de la femme dans la prévention des conflits. Six pays de la sous-région sont concernés.

Reçu, mardi dernier, par le garde des Sceaux, Alexis Boutamba Mbina, les magistrats ont fustigé le “manque de considération” dont ils font l'objet de la part du gouvernement.

Fruit d'un partenariat entre le Conseil départemental du Komo Kango et le Programme des Nations unies pour le développement (Pnud), cette structure médicale vient d'ouvrir ses portes. Inauguration de l'ouvrage ce 9 novembre 2016.

La communauté internationale célèbre le 10 novembre de chaque année la Journée internationale des stagiaires. Une initiative de l'International coalition for fair internships (ICFI), créé en 2006 dans le but de revendiquer les droits des stagiaires.

Cet échange, le premier du genre, a permis au président de la structure syndicale, Me Georges Boupenga, de présenter au nouveau garde des Sceaux, les maux qui minent la profession de greffier.

La direction générale des Douanes et des droits indirects a signé, hier, à Libreville, une convention de partenariat avec l’École de préparation aux carrières administratives.

Cette journée, 24ème du genre, a été célébrée en même temps que la rentrée littéraire de l'Union des écrivains gabonais (Udeg). La manifestation a vu la présence d'écrivains, d'éditeurs, et de nombreux passionnés du livre. Thème retenu : " La place de la femme dans la littérature gabonaise ".

Ils étaient nombreux, hier matin, à avoir franchi, pour la première fois, le grand portail de l'université Omar-Bongo, en vue de s'inscrire au titre de l'année académique 2016-2017.

Le continent africain célèbre aujourd'hui ses écrivains. Auteure, Francine Lysiane Mbazoghe Mba livre ses impressions sur la littérature gabonaise.

Un séminaire de formation sur l’industrie du cinéma en Afrique centrale s’est tenu, du 2 au 4 novembre 2016, à Libreville, à l’intention des personnes travaillant dans ce domaine.

Près d'un an après l'annonce de la fin du processus de codification et le début de la pose des plaques nominatives des voiries par la Cellule technique d'adressage (CTA) de l’hôtel de ville, les noms des rues de Libreville se font toujours attendre.

Samedi dernier, des jeunes étudiants, membres du Rotaract club de Libreville, visitaient l’Agence pour la sécurité de la navigation aérienne en Afrique et à Madagascar (Asecna). Objectif : susciter des vocations.