Les deux fils de Pierre-Claver Akendengue creusent leur sillon dans l'univers musical gabonais, se faisant remarquer du public et multipliant prestations par-ci, et sortie de singles par-là.
s'appelle Tanguy Akendengue, alias Tanghino de son nom d'artiste. L'autre, c'est Kweno Ntchandi Akendengue (connu dans le monde de la musique sous son prénom Kweno, tiré de la langue omyènè). Leurs points communs : avoir Pierre-Claver Akendengue comme géniteur, et la musique comme passion.La vingtaine révolue tous les deux, ils creusent déjà leur sillon, multipliant prestations par-ci et sorties de singles par-là. Ceux qui, jusqu'au double concert de Pierre Akendengue de janvier dernier, n'étaient pas encore très connus du public, font petit à petit sensation auprès des mélomanes gabonais et d'ailleurs.
Etabli à Paris en France, Tanghino s'est produit dans plusieurs coins du monde. A plusieurs reprises, il a collaboré aux côtés des stars de renom aux Etats-Unis d'Amérique. Le 3 mars dernier, son titre " Orèti Do" (" La vérité n'a pas de tombe" en langue omyènè) a été une fois de plus apprécié au concert d'Annie-Flore Batchiellilys à la Boule Noire à Paris.
Un peu plus jeune que lui, Kweno a été, lui aussi, piqué par le virus de la musique. Sans doute du fait d'avoir grandi près du PCA de la musique gabonaise. Mais à la seule différence que le registre musical dans lequel il s'inscrit, tranche avec celui de son père. Kweno est plutôt attiré par les musiques urbaines.
F.S.L.
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