Tel un chapelet, le festival Escales documentaires de Libreville (EDL) égrène petit à petit ses jours, en invitant le public à prendre part gratuitement à chacune de ses diffusions, qui prennent fin vendredi prochain.
L’AFFICHE de ce mercredi présente six films dressant des portraits de personnages remarquables et auteurs d’œuvres qui forcent l’admiration. Il s’agit notamment de « The long distance » de Daniel Sager d’Allemagne, « Le dernier conseil » de Jean Claude Cheyssial (France), « Une vie après le bloc » d’Amédée Pacôme Nkoulou (Gabon), « Les traces de Kandia » de Laurent Chevallier (Guinée/France), « La promesse du Biram » d’Allamine Kader (Tchad), et « Mali blues » de Lutz Gregor (Allemagne).
Avec, comme lien commun, la mise en avant de personnes se démarquant positivement dans des domaines particuliers, ces documentaires retracent des parcours et des démarches exceptionnels d’hommes et de femmes avec des choses à dire et à partager. « The long distance » de Daniel Sager d’Allemagne, par exemple, présente l’histoire de la femme d'un agriculteur kényan et d'un jeune berger, désireux de repousser leurs limites et mettre un terme à la précarité qui les domine par la participation à des marathons professionnels rémunérés en Europe.
Frédéric Serge LONG
Retournez à la rubrique Gabon Culture & Société Gabon
random pub
Articles associés
Emprunter la Nationale 1, c'est s'engager dans une véritable loterie pour les automobilistes, surtout les novices.
En cette Journée mondiale du diabète, le Gabon se retrouve confronté à une réalité inquiétante : près de 10 % de sa population est touchée par cette maladie chronique.
La Coordination de Taxi Gab+ a émis une note rappelant fermement les règles de conduite à tous les chauffeurs entrepreneurs affiliés au projet.
La célébration en différé de la Journée mondiale du diabète a eu lieu le 21 novembre dernier au Gabon.
Le 11 novembre dernier, devant la mairie du 17e arrondissement de Paris, une cérémonie vibrante d'émotion a eu lieu en hommage à Georges Duckson, un héros de la Résistance française.
Depuis le 16 novembre, l’Institut français du Gabon (IFG) a temporairement fermé ses portes, histoire d'amorcer un ambitieux projet de rénovation destiné à moderniser ses infrastructures.
