Si on ajoute la décision du directeur de jeu sudafricain Tom Adjile – qui est resté de marbre face à l'arbitrage vidéo à lui proposée sur un penalty si able en faveur d'Aaron Appindangoye –, les errements coupables de ce dernier sur le premier but nigérian ont fait basculer une production globale gabonaise de bonne facture sur 90 minutes (plus le temps additionnel). Le coaching ou encore la faillite des leaders offensifs Pierre-Emerick Aubameyang et Denis Bouanga, le manque de profondeur de banc ont été l'autre donnée qui, au final et une fois de plus, ont desservi les Panthères.
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Lesquelles avant le forfait de Guelor Kanga étaient déjà privées de Jim Allevinah, Shavy Babicka et Michel Mboula, tous blessés de longue date.
Les alternatives toutes issues de la diaspora ont démontré que l'absence de concurrence qu'aurait pu apporter le National-Foot 1 a pénalisé les Panthères. Et pas que dans cette campagne éliminatoire de la Coupe du monde qui s'est achevée hier sur un lourd revers contre un adversaire qui a confirmé sa suprématie en confrontations directes.
Les conséquences sont à prévoir pour la phase finale de la Coupe d'Afrique des nations qui va débuter dans un peu plus d'un mois et pour laquelle le groupe sera, à quelques exceptions près, celui qui n'a pas su tenir la dragée haute sur la durée à des Super Eagles pourtant loin de survoler les débats.
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