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Société & Culture

Crise dans la santé : Limoukou s'attaque à la "grippe" hospitalière

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Des récriminations des patients à la récente disparition d'une jeune enfant au CHUL, il y a quelques jours, tout montre que la maison Santé est malade, a indiqué hier le ministre de la Santé. La commission, qui a été créée dans la foulée de cette déclaration, a dix jours pour proposer les moyens de ramener plus de sérénité dans ce département.

C'est un homme très en colère qui s'est adressé, hier, aux directeurs des différentes structures sanitaires de Libreville, Owendo et Akanda. Ainsi qu'aux principaux agents de son ministère. Max Limoukou, ministre de la Santé, n'a pas mâché ses mots pour faire comprendre à ces responsables que la récréation, au sein de ce département ministériel, était terminée.

"Chacun d'entre nous est au service de la population gabonaise. Chaque patient est comme un client. Donc, il est un roi qui vient vers nous. Celui qui ne l'a pas compris ou qui ne veut pas travailler, peut toujours s'en aller", a martelé le membre du gouvernement.

La raison de cette surprenante prise de parole trouve une partie de son origine dans la récente actualité liée à la Santé. Le récent reportage de Gabon 24, il y a quelques jours, sur la mort inexpliquée d'une jeune enfant avait créé un tel émoi dans l'opinion publique que Max Limoukou avait été contraint de se rendre dans les Centres hospitaliers universitaires (CHU) de Libreville et d'Owendo pour s'enquérir de leur fonctionnement.



S.A.M.



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