Aller au contenu principal
Société & Culture

Grève du Snec-UOB : La mayonnaise peine à prendre

Image1159

Un mois, jour pour jour, après la suspension de sa grève, le Syndicat national des enseignants-chercheurs de l'université Omar-Bongo (Snec-UOB) a remis ça lundi dernier.

A l'inverse de la première grève qui était due au non-paiement du passif des prestations de ses membres, celle du début de semaine tient sur trois points : "l'annulation de l'ordonnance du Conseil des ministres du 23 février dernier", laquelle institue, entre autres, le paiement des fonctionnaires au trentième, et l'avancement exclusif au mérite. Mais aussi, "la revalorisation de leurs pensions retraites, conformément au nouveau système de rémunération". Les enseignants exigent enfin "(leur) reclassement Cames (Conseil africain et malgache pour l'Enseignement supérieur, ndlr) qui sont bloqués depuis quatre ans, contrairement à ce qu'affirment le ministre de la Fonction publique".

C'est ce qu'a expliqué hier à Libreville le président du Snec-UOB, Mike Moukala Ndoumou, joint au téléphone par L'Union.

Il faut dire, cependant, que cette grève du Snec-UOB, qui s'inscrit dans le sillage de la grève du Snec-National, sinon de la centrale syndicale Dynamique unitaire (DU), a du mal à prendre, pour l'heure, au sein de l'UOB.

Retrouvez l'intégralité de cet article dans la version numérique complète

Retournez à la rubrique Gabon Culture & Société Gabon

random pub

Publicom - 1ere régie publicitaire au Gabon
Super Efficace 5e Annee
Abonnement Mensuel L'Union
Logo