Le 4 janvier, la Caisse nationale d'assurance maladie et de garantie sociale (CNAMGS) a accueilli de nouveaux dirigeants. Alain-Claude Kouakoua, Nadia Christelle Koye et Pierre Moussavou seront confrontés à des enjeux majeurs, alors que la confiance du public est mise à mal par des soupçons de malversations et un conflit avec les pharmaciens.

L'installation récente des nouveaux dirigeants de la Caisse nationale d'assurance maladie et de garanties sociales (CNAMGS) marque la fin d'un processus de recrutement entamé le 19 décembre dernier. L'ancienne directrice générale, Christine Audrey Chambrier Voua, dresse un bilan encourageant de son mandat.

Avec une cinquantaine de films et séries à son actif, celui qui restait l'un des pionniers de notre cinéma, après la disparition de Philippe Mory, s’est éteint ce dimanche 5 janvier 2025 à l’âge de 66 ans. 

Dans le but de pallier les multiples insuffisances décriées depuis plusieurs années dans notre système national d'information sanitaire, le ministre de la Santé, Pr Adrien Moungoungou, a dernièrement procédé au lancement de la plateforme District Health Information System2 (DHIS2)

La décision émane du conseil d’administration de la Caisse nationale d’assurance maladie et de garantie sociale (CNAMGS) qui s’est réuni en session extraordinaire à Libreville. Au terme des travaux à l’ordre du jour, la nouvelle directrice générale a été désignée. Et c’est Nadia Christelle Koye qui a été choisie. 

Depuis quatre jours, les assurés de la Caisse nationale d'assurance maladie et de garantie sociale (CNAMGS) ne sont plus servis dans les pharmacies conventionnées. Comment en est-on arrivé à cette situation ? Quel est le véritable problème à l'origine de cette crise entre les pharmaciens et la CNAMGS ? La présidente du Syndicat des pharmaciens du Gabon (Sypharga), Dr Sandrine Itou-Y-Maganga, entourée et soutenue par ses collègues, a livré sa part de vérité hier à L'Union.

Face à la suspension des prestations aux assurés par les pharmacies, la direction générale de la Caisse nationale de maladie et de garantie sociale (Cnamgs) rassure la population.

Un espace de loisirs dont l'image des richesses florales et fauniques du Gabon. Telles sont les caractéristiques du "Jardin des 9 provinces ", situé au niveau l'échangeur du lycée Paul Indjendjet-Gondjout (ex-lycée d'État de l'Estuaire). L'espace a été officiellement ouvert en pleines festivités de fin d'année par le délégué spécial chargé de la gestion de la commune de Libreville, le général Jude Ibrahim Rapontchombo.

C'est une annonce dont les assurés Cnamgs (Caisse nationale d'assurance maladie et de garantie sociale) se seraient bien passés en ce début 2025. Le Syndicat des pharmaciens du Gabon (Sypharga) a annoncé, mercredi 1er janvier 2025, la suspension temporaire des services aux assurés Cnamgs dans les pharmacies.

Tels les rois mages venus d'Orient à la recherche de l'enfant Jésus, plusieurs équipes des médias, dont celle de L'Union, se sont retrouvées mardi à minuit au Centre hospitalier universitaire de Libreville (CHUL) en quête du premier bébé de 2025.

Le 31 décembre 2024, Libreville a connu une ambiance festive et électrique. Les lieux publics, notamment les endroits les plus chauds de la ville, ont été pris d'assaut par des masses de fêtards, impatients de célébrer ce réveillon sans couvre-feu.

Alors que la crise sanitaire s'intensifie au Gabon, la gestion de la CNAMGS est au cœur des critiques. La présidente du Syndicat des Pharmaciens du Gabon (Sypharga) a récemment dénoncé un système à bout de souffle, entre dettes croissantes et opacité sur l'utilisation des cotisations. Une situation qui met en péril l'accès aux soins pour des millions de Gabonais.