Le scrutin pour le choix, entre autres, des membres du Bureau politique (MBP), est allé à son terme samedi dernier. Avant d’être validé par le secrétariat exécutif du parti, hier, à la faveur d’une cérémonie faisant office de clôture générale des travaux des Conseils provinciaux.

Une semaine durant, dans la capitale française, un panel de juristes, historiens, linguistes, sociologues, etc., devrait répondre à une interrogation : " Cinquante ans après la mort du président Léon Mba, que reste-t-il de sa vie, à bien des égards, exemplaire ?"

L'ancien secrétaire général du Parti démocratique gabonais (PDG) a saisi, dimanche dernier, la tribune du Conseil provincial de l'Ogooué-Lolo pour éclairer, enfin, l'opinion sur les raisons de sa démission à la tête du parti au pouvoir.

Le ministre des Petites et Moyennes entreprises (PME), Biendi Maganga Moussavou, était, hier, devant les membres de la Commission des Affaires économiques, de la Production et des Echanges du Sénat.

Richard-Auguste Onouviet et Josué Mbadinga sont, jusqu'alors, et cela ne risque pas de changer, les plus grosses victimes du renouvellement, par la base (même si d'aucuns dénoncent un transfert d'électeurs), des instances décisionnelles du Parti démocratique gabonais (PDG).

Seuls candidats en lice dans leurs sièges respectifs, Jean Massima, Blaise Louembé ou encore Régis Immongault Tatangani n’ont pas été inquiétés pour valider leurs élections au Bureau politique. Ce scrutin vient ainsi boucler les travaux relatifs au Conseil provincial ouvert samedi dernier à Koula-Moutou.

C’est le constat qui s’est dégagé à l’issue de l’élection des membres des instances du PDG dans ladite province, où la plupart des ''caciques'' ont été confirmés à leurs postes. Seul fait nouveau à signaler, l’entrée en grand nombre de jeunes cadres au Conseil national et au Comité central.

Notre pays entend mobiliser tous les acteurs pertinents pour la mise en œuvre de l'Accord de Paris, a déclaré Guy Rossantaga-Rignault devant la session de l'Initiative pour la forêt de l'Afrique centrale (CAFI).

La ministre déléguée auprès du ministre de l’Économie, Edwige Betha Essoukou, était, hier, devant les membres de la Commission des Finances, du Budget et des Comptes de la nation du Sénat.

Tout porte à croire que la guerre est, semble-t-il, déclarée entre le président de l'Union du peuple gabonais (UPG), Mathieu Mboumba Nziengui, et son secrétaire général Jean-Olivier Koumba Mboumba. Une bataille à l'issue incertaine pour le parti de feu Pierre Mamboundou.

Récemment nommé aux prestigieuses fonctions de directeur de cabinet du président de la République, Brice Laccruche Alihanga était, le week-end écoulé, dans le Haut-Ogooué, où il est allé échanger avec les filles et les fils de tous les départements de cette province.

Le président gabonais prendra la parole en troisième position, après la Chancelière allemande Angela Merkel et Emmanuel Macron (France).