Le nouveau patron des Sports hérite d'un département ministériel où tout est à refaire. Tant les difficultés sont immenses. Absence de subventions aux fédérations, manque d'infrastructures sportives de qualité, compétitions domestiques inexistantes, mauvaise utilisation des fonds alloués pour le National-Foot, fédérations dépourvues de sièges, crises sans fin au CNOG et à la Fégabab, absence de résultats au niveau international... Tels sont les maux qui minent le sport gabonais. Patrick Barbera Isaac a donc du pain sur la planche.