Cette déclaration est du secrétaire général exécutif du Bloc démocratique chrétien (BDC), Guy-Christian Mavioga. Lequel a estimé, samedi dernier, au cours d'un déjeuner de presse, que réduire l'équipe gouvernementale actuelle à dix-huit membres et neuf secrétaires d'Etat aurait pu permettre à l'Etat de faire un peu plus d'économie.
À l'instar de plusieurs leaders des partis politiques de notre pays, le secrétaire général exécutif du Bloc démocratique chrétien (BDC), Guy-Christian Mavioga, a décortiqué les mesures adoptées récemment par le Conseil des ministres. Mesures qu'il a, de manière générale, saluées, samedi, au cours d'un déjeuner de presse, dans un hôtel de Libreville.
Toutefois, il a fustigé la non prise en compte de la réduction de la taille du gouvernement qui, pourtant, était classée parmi les mesures ''immédiates''. Et dénoncé le fait qu'elle a été qualifiée de non-rétroactive, contrairement aux autres décisions. À ce sujet, l'ancien porte-parole de la Majorité républicaine et sociale pour l'émergence estime, dans le franc-parler qu'on lui reconnaît, que « ne pas réduire immédiatement la taille du gouvernement au moment où les salaires de plusieurs compatriotes sont réduits est une injustice sociale et une position cynique et inique ». Ce d'autant que, du point de vue de sa formation politique, à l'heure où les caisses de l'Etat sont à leur plus mauvais niveau, « un gouvernement réduit à 18 ministres, 9 secrétaires d'Etat et un Premier ministre serait à même de conduire efficacement les affaires du pays » qui compte à peine 1,8 million d'habitants.
Retrouvez l'intégralité de cet article dans la version numérique complète
Retournez à la rubrique Gabon politique
random pub
Articles associés
Le chef de l'État, le général Brice Clotaire Oligui Nguema, a reçu hier, au palais de la présidence de la République, les lettres de créance de quatre nouveaux ambassadeurs accrédités dans notre pa
Reclus à sa résidence de la Sablière depuis le 30 août 2023, l'ancien chef de l'État, Ali Bongo Ondimba, dans une lettre adressée à ses compatriotes et parvenue hier à notre desk, a appelé ces dern
Le Parti démocratique gabonais (PDG), ancien parti au pouvoir, fait à nouveau parler de lui, après l'étape des juridictions... Cette fois c'est le prochain référendum qui divise.
Dans une lettre à cœur ouvert, l’ancien président de la République, Ali Bongo Ondimba a annoncé son retrait de la vie politique et invité ses compatriotes à jouer la carte de l’unité.
L’expérimentée, Marie-Edith Tassyla-Ye-Doumbeneny, nouvellement nommée à la tête de la diplomatie gabonaise en France a présenté le mardi 17 septembre dernier à Paris en France ses lettres de créan
Les travaux de l'Assemblée constituante se poursuivent au palais Léon-Mba.
