Un tragique incendie survenu à Mayumba, chef-lieu de la Basse-Banio, a coûté la vie à un nourrisson de 8 mois. Le sinistre, attribué à une bougie mal placée, a ravagé l’habitation d’un sergent de la base marine locale, plongeant la commune dans la stupeur alors que les premiers éléments de l’enquête se précisent.

Accusé d’injures à l’encontre du peuple gabonais et de violences physiques, un Nigérien d’une trentaine d’années, Donuba Obina, a été présenté hier au parquet de Libreville sous le mandat de dépôt. L’affaire, née d’un incident sur la route La Peyrie-STFO et largement relayée sur les réseaux, illustre les enjeux de respect des personnes et de sécurité dans un contexte électoral et migratoire tendu.

Le corps sans vie d’un jeune homme, Simplice Moussavou, a été retrouvé dans un bus de transport suburbain en panne, mardi 2 septembre 2025, après une escapade meurtrière improbable et une matinée marquée par une prise en charge médicale à l’hôpital de Nkembo.

Le tribunal de première instance de Libreville a rendu, le 1er septembre 2025, son verdict dans une affaire majeure de proxénétisme organisée via les réseaux sociaux. Quinze personnes avaient été interpellées le 7 août dernier lors d’une opération de la Police judiciaire. Deux hommes, identifiés comme les organisateurs, écopent de peines d’emprisonnement ferme mais avec sursis. Tandis que les treize femmes, reconnues coupables d’outrages aux bonnes moeurs, bénéficient d’un traitement judiciaire plus clément. Lequel prend en compte leur vulnérabilité sociale.

Suite à un communiqué relayé par Gabon Media Time, Harold Leckat Igassela, directeur de publication, a été entendu puis libéré par un Officier de police judiciaire à la DGR de la Gendarmerie nationale dans le cadre d’une enquête pénale liée à une tribune publiée en janvier 2023. Le média rappelle que l’Ordonnance n°00000012/PR/2018 dépénalise expressément le délit de presse et demande une circulaire gouvernementale clarifiant l’usage des procédures pénales dans les activités rédactionnelles des organes de presse.

La Cour d’appel judiciaire de Franceville a rendu vendredi 29 août 2025 un verdict qui fait écho au drame familial de Mounana: Mack Gaivor Mvou Mbiga, 38 ans, condamné à 8 ans de réclusion pour des tortures et actes de barbarie infligés à son jeune fils de 9 ans.

Un ressortissant camerounais, se faisant passer pour un clerc d’huissier et utilisant un cachet contrefait, a été arrêté par la Brigade spéciale de la police judiciaire du tribunal de Libreville. Mis en cause pour faux, usage de faux en écriture publique et usurpation de titre et d’identité, l’homme, actif illégalement pendant plus de sept ans, a été déposé en prison centrale de Gros-Bouquet après une perquisition ayant révélé un faux sceau de la République gabonaise et des montants douteux dans des procédures.

La nuit, à Maboto, un hameau isolé à 38 kilomètres de Lambaréné a viré au drame: un camion Mercedes-Benz a embardé et s’est écrasé contre un arbre, faisant deux morts et un blessé en urgence absolue. Les habitants et les secours se mobilisent au petit jour pour secourir le survivant et faire la lumière sur les circonstances de cet accident survenu au cœur de la province du Moyen-Ogooué.

Eddy Aliou Bouka Tall, 27 ans, est détenu à la prison du Château après avoir asséné un coup de tonfa sur la tête d’un adversaire lors d’une altercation nocturne, un incident qui lui vaut une inculpation pour coups et blessures.

Famille et proches annoncent vouloir que justice soit faite dans une affaire de violences attribuées à des agents de la DGSS impliqués dans une affaire de vol lié à un gouverneur. Lors d’une conférence de presse à Libreville, la sœur du plaignant détaille les sévices subis et réclame que les autorités se prononcent sur ces accusations qui dépassent le cadre d’un dossier individuel.

Moanda est sous le choc: une Gabonaise de 19 ans, Patience Boundama, a étouffé son nourrisson d’un an avant de prendre la fuite, déclenchant une vaste chasse à l’homme qui s’est conclu par son arrestation. L’enquête sanitaire et judiciaire s’oriente désormais vers les motivations et les circonstances exactes de cet acte tragique.

Une tragédie secoue Yéné, dans le 4e arrondissement de Franceville: une Congolaise de 27 ans aurait mis fin à la vie de son nouveau-né. Arrêtée par les gendarmes de Mbaya, l’auteure présumée est en garde à vue en attendant sa présentation au parquet, alors que l’enquête s’oriente vers les motivations et les circonstances entourant cet acte grave.